Après de l'après
Datte: 24/03/2020,
Catégories:
fhhh,
grossexe,
taille,
fsoumise,
hdomine,
Oral
pénétratio,
sm,
fsoumisah,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... peur. Mais je sais aussi que je peux vous rendre heureuse.
Je déglutis ; son petit discours sincère me rend toute chose.
— Merci, Jean-Paër. Je… je ne sais pas quoi dire…
— Alors dites oui.
— Vous exagérez !
Ne sachant que faire, je finis ma glace. Il attend un peu, puis il finit par prendre la parole :
— Je sais, j’y vais un peu fort, mais il s’agit de saisir sa chance quand elle passe. Et vous êtes là, si proche de moi…
— Je ne peux pas vous donner tort. Mais c’est rapide !
— Avec Max, ce fut très rapide, il me semble… Sans vous offenser, je pense qu’avec vous, il faut y aller franco, savoir vous brusquer car, au final, vous adorez être une mignonne petite chose ballottée par les événements.
— Vous exagérez !
— Pourquoi êtes-vous soumise, Valérie ? Pour pouvoir vivre des tas de choses interdites en prétextant les avoir subies de la part d’une autorité « supérieure ». C’est votre nature profonde : vous aimez expérimenter, mais sans vous engager personnellement.
— Vous exagérez vraiment !
— Dites-moi que je me trompe.
— Euh… vous… vous exagérez.
Sans que je ne puisse esquisser un geste de défense, il saisit brusquement mais délicatement mon menton dans sa large main et m’embrasse avec passion.
Quand nos lèvres se séparent, je reste abasourdie tandis qu’il me dévore du regard. Le pire, c’est que ça m’a plu ! Il se dégage de cet homme une aura certaine, ce petit quelque chose qui me fait fondre. Ce qui ne va pas me simplifier les choses avec Max et ...
... Paul !
C’est lui qui prend le premier la parole tout en se levant, me tendant la main :
— Valérie, venez avec moi. Nous avons plein de choses à faire ensemble.
Spontanément, je réponds à son geste :
— Euh… oui, Jean-Paër.
— Sachez que je serai toujours là pour vous, et que je souhaite ardemment veiller sur vous.
— Je… je sais… Je sais que vous pensez ce que vous dites, mais vous ne pensez pas que la situation est déjà bien compliquée comme ça ?
— Peu importe, Valérie, du moment que vous soyez avec moi… même peu de temps, ça me conviendra… pour l’instant.
— Pour l’instant, comme vous dites…
Il ne répond rien ; il se contente de prendre ma main. Nous sortons ensuite de la cafétéria pour déboucher sur la galerie marchande plus lumineuse. C’est alors que je réalise que je suis à présent collée tout contre lui et qu’il a un bras protecteur passé autour de moi, sa large main sur mon épaule, l’image parfaite du couple fusionnel !
Au dehors, il m’entraîne dans un espace vert un peu à l’écart. Sous un vaste arbre, sans préambule, il me serre contre lui puis m’embrasse follement.
Décidément, je subis nettement plus les choses que je ne les dirige… Et j’aime beaucoup ça !
Faire l’amour avec Jean-Paër, c’est quelque chose ! C’est à la fois très doux et violent. « Violent » n’est pas tout à fait le bon mot. Comment dire… c’est explosif, impétueux, fougueux, à en avoir mal partout, tellement je me déchaîne !
Avec lui, je me sens vraiment une toute petite chose ...