Crème
Datte: 24/03/2020,
Catégories:
fh,
cinéma,
facial,
Oral
fdanus,
fsodo,
confession,
Auteur: DuranDuran, Source: Revebebe
... ma bouche avalait le foutre de mon homme.
Stéphane, avec le temps, montra des signes de « faiblesse ». Certains matins, il faisait en sorte de se lever plus tôt afin d’éviter la « traite », comme il disait. Cela me mettait dans tous mes états ! Et le soir, je n’avais qu’une envie : c’était de lui sauter à la braguette et de l’avaler tout cru ! Certains soirs, il évitait le canapé et passait la soirée sur son PC. Pas de ration du soir !
Intérieurement, je fulminais. Mais il fallait faire preuve d’un peu plus de finesse. Il fallait me rendre désirable.
La première étape fut l’accès à mon… anus ! Jusqu’à présent, je lui avais interdit d’y toucher, bien qu’il en eût souvent exprimé l’envie. Je pris donc sur moi ; et un soir, sur le canapé, pendant que je le suçais, la tête appuyée sur ses genoux, sa main gauche dans ma petite chatte imberbe, je basculai le bassin pour que son majeur soit à hauteur de mon petit trou.
Il allongea sa main pour rechercher mon clitoris, mais je me remis en position. Je sentais son doigt timide. Par quelques poussées successives, je réussis à faire entrer dans mon cul sa première phalange. En poussant plus fort, il rentra le doigt complet. Dans ma bouche, sa bite n’avait jamais été aussi grosse ; je me mis à aspirer comme une forcenée tout en bougeant mon cul planté sur son doigt, et il se mit à jouir comme aux premiers jours.
J’avais le sentiment d’avoir gagné une bataille. Les doigts dans le cul s’enchaînaient maintenant ...
... quotidiennement ; j’avais droit tous les soirs à mon petit toucher rectal, comme il disait.
Et il fallut se faire à l’idée qu’il allait vouloir y mettre sa queue. Mon angoisse n’était pas la pénétration, mais d’être dégoûtée de le sucer après qu’il m’ait enculée.
Ce soir-là, je m’étais préparée ; je m’étais nettoyée aussi profond que j’avais pu, non sans que cela m’excite déjà un peu. Il était arrivé avec son petit cartable d’ingénieur et sa baguette de pain. J’étais avec mon tailleur de bureau, strict et gris ; accroupie dans le salon, je faisais semblant de ramasser quelques miettes avec ma petite pelle et la balayette.
Le compas de mes jambes était grand ouvert et il pouvait voir que je n’avais pas de culotte. Il s’approcha de moi, je ne me redressai pas ! Toujours accroupie, je l’attirai vers moi et lui dis que j’avais envie… qu’il me sodomise.
Ma main sur sa braguette, je sentis que ma phrase lui faisait de l’effet. Lui d’ordinaire si prévisible me bascula en arrière, me fit mettre à quatre pattes, retroussa la jupe de flanelle et se mit à – comment dire – me bouffer le cul !
Je ne le reconnaissais plus. Sa langue allait profondément dans l’anneau plissé de mon anus. Il fit tomber son pantalon et, sans plus de préliminaires, il positionna sa queue sur mon petit trou humide. Je n’avais qu’une hâte, c’est qu’il entre en moi, et qu’une crainte, c’est qu’il gâche du bon sperme à vouloir juter dans mon cul.
Stéphane était un garçon prévenant et gentil. Il s’enfonça en moi ...