1. Crème


    Datte: 24/03/2020, Catégories: fh, cinéma, facial, Oral fdanus, fsodo, confession, Auteur: DuranDuran, Source: Revebebe

    ... et je me suis retrouvée avec son sexe tout dur et palpitant devant mes lèvres closes. Il a poussé doucement la porte et j’ai avalé son membre, sans un bruit autre que celui de la télévision.
    
    Sa main est devenue plus audacieuse et a glissé sur ma chatte humide, cherchant à ouvrir mes lèvres, et sa respiration s’est accélérée. Il a commencé à bouger de plus en plus vite dans ma bouche. J’ai commencé à aspirer, comme sur une tétine. Il m’a dit « Attention, je jouis ! » et j’ai senti un liquide chaud et gluant remplir ma gorge. Je me suis levée comme une furie et j’ai été cracher dans le lavabo.
    
    Mais le petit arrière-goût dans ma gorge, à la fois salé et astringent, m’a plutôt agréablement déconcertée. Je suis revenue me blottir dans ses bras et il m’a caressé les cheveux. J’avais bien aimé, mais sans plus ! J’avais par contre été fascinée par le plaisir que je lui avais donné ! J’avais le sentiment d’avoir fait quelque chose de bien !
    
    Les semaines passaient, et parfois, sur le canapé, la scène se répétait. Caresse, fellation, lavabo. Mais une ampoule s’était allumée dans ma tête. Et un soir, par curiosité, j’ai avalé ! Et la surprise fut que je n’ai pas trouvé cela désagréable ! On ne peut pas dire que c’était bon, mais c’était étrange, curieux. Un goût complexe de gelée royale. Comme un premier verre de bon vin pour quelqu’un qui ne connaît pas. On est surpris par le goût, mais on a envie de réessayer parce que l’on sent que ce n’est qu’une étape à un long ...
    ... apprentissage de plaisirs plus subtils…
    
    Maintenant, je ne crachais plus ; j’en éprouvais une certaine fierté, et Stéphane était ravi ! La télé le soir était souvent agrémentée d’une bonne petite pipe, comme il disait. D’une ou deux fois par semaine, la tradition devenait quotidienne ; et lorsque nous sortions au cinéma, je ne pouvais pas m’endormir avant de l’avoir sucé et d’avoir dégusté sa merveilleuse crème.
    
    Je pris conscience qu’en fonction de ce qu’il mangeait, le goût de son sperme changeait. Je lui préparai ainsi, à son insu, des repas plus vanillés, plus fruités, préférant les viandes blanches, évitant des produits tels que choux ou asperge. Il adorait se faire sucer en me doigtant la chatte. Je prenais ma ration de sperme avec délice.
    
    Le matin, je me levais un peu avant lui. Et je faisais en sorte de ne pas le réveiller. Mais ce matin, j’ai senti par inadvertance qu’il bandait en dormant. Je me suis glissée sous les draps, et délicatement, j’ai caressé son gland de ma langue. Il a soupiré ! Je l’ai gobé avec onctuosité et ai commencé de longs mouvements de va-et-vient en prenant soin d’aspirer de plus en plus fort. Il a fini par rapidement cracher sa sauce dans un râle. J’étais aux anges ! Il n’a rien dit, il n’a pas ouvert les yeux. Il a fait comme s’il dormait, et je me suis levée heureuse. Ma journée fut radieuse !
    
    Très rapidement, j’ai eu droit à mes deux rations quotidiennes. Cela m’excitait de savoir, quand je faisais la bise à mes collègues, qu’une heure avant ...