1. Vacances en camping-car (16)


    Datte: 23/03/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: burton195, Source: Xstory

    ... plaît, je tiens plus en place quand tu me fais ça...
    
    Je lui réponds par un sourire puis je me mets à genoux à côté d’elle pour lui lécher sa fente humide et bien ouverte de haut en bas, comme pour la nettoyer de toute la cyprine qu’elle venait d’évacuer. Une fois que je suis repu de son sexe et de son liquide, je remonte jusqu’à sa poitrine, titille ses tétons tout durs du bout de la langue et je remonte jusqu’à son beau visage pour l’embrasser tendrement.
    
    — Ça va ?
    
    — Oh que oui ! j’ai joui deux fois en l’espace de quelques minutes, et...
    
    Elle ne peut finir sa phrase, car je l’interromps en lui reprenant la bouche, et aussi en replongeant deux doigts dans son antre que je recommence à doigter à toute vitesse pendant de longues secondes. Quand j’ai terminé, je les ressors trempés et les enfonce dans la bouche de ma sœur qui les lèche sans broncher.
    
    — Coquin, me dit-elle en souriant.
    
    — Si moi je suis un coquin, toi t’es quoi ?
    
    — Moi ? Une grosse cochonne...
    
    Nous rigolons tous les deux puis je lui fais signe de rester sur le dos et après avoir constaté que notre voyeur était toujours-là, je me mets debout au-dessus de ma sœur, puis je fléchis les jambes jusqu’à ce que mon sexe trouve l’entrée de sa bouche. Comprenant ma manœuvre, Marion se redresse, s’avance de quelques centimètres pour gober ma bite en quasi-totalité puis, j’entame aussitôt une série de coups de boutoir dans sa bouche. Étant donné la surface glissante sur laquelle nous nous trouvons, ...
    ... ce n’est pas simple de procéder ainsi, mais, une fois que je me suis cramponné à ces épaules, je gagne en stabilité, et donc en cadence. Je lui martèle donc la bouche pendant encore un moment, la libérant de temps en temps de mon membre pour qu’elle puisse reprendre sa respiration puis, sans la prévenir, je crache la purée dans son gosier.
    
    Je vois aussitôt Marion me regarder avec un air très surpris puis, après avoir tout avalé, elle s’essuie la bouche d’un revers de main et me regarde en souriant :
    
    — T’aurais pu me prévenir, finit-elle par me dire.
    
    — Désolé, ça t’a dérangé ?
    
    — Non, je m’en remettrais, tu sais bien que ça me dérange pas !
    
    — Tant mieux...
    
    Je jette un nouveau coup d’œil vers la plage et constate que notre spectateur est encore là et qu’apparemment, lui par contre n’a pas terminé sa besogne puisqu’il est toujours en train de se branler.
    
    — Pépère a pas terminé, dis-je à Marion en lui montrant la plage du doigt.
    
    — Je vois ça, oui. Bon, on s’en va ? J’ai froid...
    
    — OK, bouge pas...
    
    Je retourne dans l’eau, vais chercher nos vêtements qui se trouvaient toujours sur un rocher pas loin de nous, puis après les avoir ramené à Marion, nous nous rhabillons et retournons dans l’eau.
    
    Plus nous nous approchons de la plage, plus les traits de notre mystérieux voyeur se dessinent plus nettement : il s’agit bien d’un homme qui doit avoir la cinquantaine à peine, plutôt séduisant, simplement vêtu d’un pantacourt baissé jusqu’aux mollets et d’un ...