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Vacances en camping-car (16)
Datte: 23/03/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: burton195, Source: Xstory
... tee-shirt, et tenant dans la main son membre qui a l’air d’être d’une taille très imposante. — Alors les jeunes, on prend du bon temps ? nous demande-t-il alors que nous nous dirigeons vers nos serviettes et nos affaires. — C’est ça, répondis-je en essayant de ne pas faire attention à lui, et en recouvrant ma sœur de sa serviette de plage. — Je sais ce que vous vous dîtes, que je suis un pervers, c’est ça ? Je vous ai vu arriver en camping-car, donc je savais bien que vous étiez majeurs, si ça peut vous rassurer. — Et vous nous avez suivis ? demande Marion. — Non, je m’apprêtais à rentrer chez moi à pieds en longeant la côte quand je vous ai vu batifoler dans l’eau, c’est tout... — Et ça vous a excité ? En entendant ma sœur poser cette question, je n’en reviens pas, et je sais qu’elle le devine aussitôt en croisant mon regard lourd de sens. Cependant, même si cet homme a toujours sa bite à la main, elle continue à lui parler comme si de rien n’était, alors que j’aurais davantage préféré que nous partions d’ici. — Ouais, c’était pas désagréable, ça se voit, non ? répond l’homme en nous montrant sa bite. — Ça vous arrive souvent de vous branler comme ça, devant n’importe qui ? — Sur cette plage, ça arrive de temps en temps, ouais, elle est assez appréciée pour sa... tranquillité, dirons-nous ! — Je vois... — On y va Marion ? — Deux secondes, frangin... Je suis agacé par sa réponse, mais je n’ai pas le temps de protester qu’elle ...
... s’adresse une nouvelle fois à l’homme : — Vous avez fini de vous branler ou pas encore ? — Non, j’ai pas fini, tant pis, ce sera pour une prochaine fois. Je le vois alors qui commence à ranger son matos dans son short, mais Marion l’interrompt en s’avançant d’un pas vers lui. — Attendez, dit-elle. — Quoi, ma jolie ? Marion s’avance à nouveau vers lui puis, sous mes yeux ébahis, je la vois se saisir du sexe de l’homme, et elle se met à le branler à toute vitesse. — Ça vous plaît ? lui demande-t-elle. — Evidemment, c’est pas tous les jours que ça m’arrive. — J’en doute pas... Elle continue de lui secouer la bite à toute vitesse, puis après quelques secondes, dans un râle guttural, de longs jets blancs s’échappent de la bite de l’homme et vont s’écraser dans le sable fin. — Merci, ma jolie, dit l’homme. — De rien. Elle retourne ensuite vers moi, ramasse ses affaires, puis voyant que je ne réagis pas, elle m’attrape la main. — On y va ? Je lui réponds par un hochement de tête et, sans adresser un mot à notre voyeur qui a toujours la bite à l’air, nous quittons la plage et nous dirigeons vers notre camion en repassant par le chemin côtier. Ce n’est que quelques minutes plus tard que j’arrive à reprendre la parole : — Qu’est-ce qui t’a pris de faire ça ? — Quoi, on lui devait bien ça, non ? On a été trop rapides pour lui et il a pas eu le temps de se finir tout seul, le pauvre... — T’es cinglée des fois, tu le sais ? — Ouais, mais ...