Le footing, un plaisir solitaire
Datte: 22/03/2020,
Catégories:
f,
ff,
couleurs,
inconnu,
sport,
campagne,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
journal,
occasion,
Auteur: Anne Gurutz, Source: Revebebe
... sa culotte, son T-shirt et son soutien-gorge, les pose par terre, puis me fait signe de m’asseoir à côté d’elle. J’enlève mes vêtements, moi aussi, puisque ça l’air d’être la règle du jeu.
Ouah ! Je me retrouve assise face à elle, en tailleur. J’évite de regarder directement son sexe, mais elle ne se gêne pas pour me mater tout en me racontant qu’elle a hésité à revenir, mais qu’elle n’a pas pu résister, et qu’elle espère que ça ne me dérange pas… Ça ne me dérange pas le moins du monde. C’est une situation étrange, mais elle a un corps très appétissant : bien bâtie, des seins avec de gros mamelons, des fesses plutôt dodues et biens rondes, des jambes et des bras musclés…
Puis elle s’allonge sur le côté, jambes écartées, et me caresse les seins. On se rapproche et nos corps se touchent. Je sens les graviers sous mes fesses. Je ne peux pas résister plus longtemps et lui dévore les seins de toute ma langue et toute ma bouche. Je les suce, les lèche, les avale. Elle fait un petit bruit de plaisir qui me rend folle. Ça y est, je suis possédée, cette allemande peut faire de moi ce qu’elle veut. Sa peau est moite et délicieuse, je suis si excitée que je commence à m’acharner sur ses tétons que je mordille. J’ai un besoin impérieux de lui offrir mon sexe, de m’ouvrir. Il est énorme, gonflé, liquide, agonisant. Elle y pose un sein, le fait glisser sur mes lèvres, puis me l’offre. Il a mon goût. Quel délice, cette excitation, ce soleil sur mon corps, ce vent qui multiplie les ...
... sensations !
Elle caresse mon sexe d’une main et voyant ma fente béante et mon regard suppliant, elle y met deux doigt et travaille mon intérieur, me manipule, me fouille. Je suis tellement mouillée que ses mouvements font du bruit. Je deviens de plus en plus dingue, cette allemande sait ce qu’elle veut et j’adore ça. Je me sens son objet, et je n’ai aucune intention de m’en plaindre. Elle continue de me fouiller, je m’ouvre encore un peu plus, je veux tout lui donner. Elle met un troisième doigt et me refouille, me manipule, me ramone, entre et sort, me baise ; et je roule des hanches comme une folle, j’en demande encore, je m’agrippe à mes fesses par-dessous, les pétris et les écarte.
Ses mouvements deviennent plus rapides et plus sauvages, je commence à m’essouffler, à haleter sérieusement, à gémir de plus en plus fort. Elle me regarde droit dans les yeux et me dit un truc en allemand que je ne comprends pas. Je commence à délirer intérieurement mais je n’ose pas trop perdre le contrôle devant une inconnue. Mais c’est trop bon, je ne peux pas éviter de lui dire «baise-moi » plusieurs fois. Je ne sais pas si elle comprend. Peu importe. «Baise-moi, défonce-moi, fais-moi jouir », voilà ce qui me passe par la tête et ce que je gémis, le tout dans un monologue incompréhensible et sans queue ni tête.
Elle continue de me pénétrer, me défonce bien, et je sens le liquide remplir mon intérieur, et j’entends le bruit. Mon plaisir augmente, explose, je crie, je crie encore, et ...