Le voisin bricoleur a des mains en or et un sacré outil (1)
Datte: 01/04/2018,
Catégories:
Erotique,
Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory
... restent comme ça pendant un petit moment, comme deux statues de cire. Lui en train de se remettre d’avoir vidé ses burnes et elle d’avoir du avaler autant de liqueur séminale.
Il me semble même que je peux sentir l’odeur sirupeuse de son sperme comme s’il dégoulinait le long de mes cuisses. C’est alors que je m’aperçois que c’est moi qui dégouline tellement je suis excitée. Mais quand je vois qu’il veut s’occuper de la chatte de cette figure de mode, je m’enfuis, pleurant de jalousie et d’envie.
Il FAUT que je me le fasse !!!!
Heureusement, elle devrait bientôt ficher le camp !
Ça y est enfin ! Elles sont reparties et je vais l’avoir pour moi toute seule !
Mais comment vais-je m’y prendre pour l’attirer dans mes filets ?
Le lendemain, je le rencontre chez le fermier. Comme d’habitude, on parle de tout et de rien quand soudain j’ai une illumination.
— Euh Marc, vous qui êtes bricoleur, j’ai ma chasse d’eau qui coule, vous ne pourriez pas ?
En homme serviable et galant, il me répond aussitôt :
— Il ne faut pas vous sentir gênée, Béatrice. Dans une heure, je viens voir ce que je peux faire !
Effectivement, une heure plus tard, il se présente à la porte. Il a remis son short et a passé un Marcel.
Moi je suis en jupe courte et débardeur, avec un string et pas de soutien-gorge.
En un rien de temps, il a résolu le problème et me demande :
— Rien d’autre qui cloche pendant que je suis là ?
— Ben ! Si ce n’est pas abuser, il y a bien d’autres ...
... bricoles car Paul a deux mains gauches !
Entre les ampoules à changer, le joint du robinet de la cuisine, les piles de la télécommande et d’autres vicissitudes de la vie à la campagne, le temps passe et il est déjà midi. Je l’invite à déjeuner avec moi et il accepte avec plaisir.
L’instant est si magique que sans savoir pourquoi, nous nous épanchons l’un l’autre. Nous nous racontons même des petits secrets que je garderai pour moi. Quand il regarde enfin sa montre, il s’affole :
— Mon Dieu ! Je n’avais pas remarqué qu’il était si tard. Je n’ai pas vu le temps passer en votre agréable compagnie mais il faut que je vous quitte ! Ce fut un moment merveilleux. Je reviendrai demain voir votre problème de ventilation.
Je lui réponds :
— Pour moi aussi, je ne me suis pas sentie aussi détendue depuis longtemps. Mais je suis gênée de vous mettre autant à contribution.
Le jour suivant, il est revenu comme promis. Il est de nouveau en short, un short court qui met ses cuisses en évidence. Moi je ne porte qu’une robe tunique légère, pas décolletée du tout mais ample et courte. Il a dû monter dans les combles et je le plains car à trois heures de l’après-midi, c’est une vraie fournaise. Je lui offre un rafraîchissement et lui propose :
— Venez faire un tour dans la piscine. Par ces grandes chaleurs, c’est vraiment agréable ! Et vous en avez grandement besoin !
— Pourquoi-pas ? Me rétorque-t-il. Mais je n’ai rien sous mon short !
Je le rassure :
— Vous savez ! ...