1. Le voisin bricoleur a des mains en or et un sacré outil (1)


    Datte: 01/04/2018, Catégories: Erotique, Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    ... l’ai vu, il déambulait complètement nu dans la pièce. Je me suis approchée subrepticement, me cachant derrière un bosquet. Sa verge brinquebalait à chacun de ses pas. Il s’est étendu dans son divan, posant sa main sur sa hampe, comme s’il voulait en cacher la vue dans un geste de pudibonderie. Je me suis sauvée comme une jeunette prise en faute.
    
    Depuis ce jour, je ne pense plus qu’à lui. Le souvenir de cette vision me ronge. Je l’espionne pour lui voler encore son intimité. Je n’ose même plus le regarder quand on se retrouve à la ferme voisine comme s’il pouvait lire en moi mes pensées lubriques. Quand on s’y retrouve, on échange quelques mots et je rougis aussitôt mais il ne réagit même pas.
    
    Cela fait une semaine que cela dure. J’essaie toujours en soirée de m’échapper sous un prétexte quelconque pour rejoindre mon poste d’observation. Mais ce soir, le ciel me tombe sur la tête. Il n’est pas seul, la pimbêche du chalet est avec lui. Et ils ne sont pas là pour discuter au coin du feu...
    
    Je vois Marc qui sort délicatement sa verge de son short, un membre vraiment peu commun ! Je vois sa bite à moins de trois mètres de moi, il glisse ensuite sa main dans la culotte de la fille pour lui caresser la vulve. Je suis jalouse à en crever mais je mouille comme une malade à la vue de cette queue aux proportions peu ordinaires.
    
    Pendant ce temps, la trentenaire commence lentement à le caresser et à retrousser son prépuce petit à petit. Je vois la taille de sa queue grandir, ...
    ... elle le branle énergiquement pendant quelques secondes jusqu’à ce que le chibre soit en totale érection.
    
    Suffisamment dissimulée, par les arbustes du jardin, je suis tranquille pour me tripoter la chatte. Je me rince l’œil et j’ai des bouffées de chaleur devant le spectacle torride.
    
    A la vision de cette queue énorme tendue à craquer, je soupire de désir. On dirait qu’il détecte ma présence car il tourne la tête dans ma direction en tenant la base de son gourdin dans la main.
    
    La porte vitrée est entrouverte et j’entends la greluche lui demander :
    
    — Oh oui ! Montre-moi ta grosse queue mon salaud ! Tu sais, je ça fait un moment que je t’espionne et que je voulais goûter de près ton bâton de berger ? J’attends ce moment depuis que je te connais ! Mais je vais rattraper le temps perdu !
    
    Elle est à quatre pattes, toute nue, en train d’engloutir goulûment la belle grosse queue qu’elle pompe avec douceur. J’avais imaginé un beau chibre en le voyant sortir de sa douche, mais là, je suis réellement intimidée par la proportion qu’a prise sa virilité. Mon cœur bat la chamade. Je ne sais pas si c’est parce que je viole leur intimité ou bien parce que j’envie cette bouche qui avale chaque centimètre de ce monstre entre ses lèvres.
    
    Elle le suce pendant de longues minutes et j’ai l’impression qu’il ne va plus tenir longtemps car on dirait que sa queue se tend de plus en plus. Soudain, il ouvre les vannes et la noie sous un flot de foutre qu’elle essaie de gérer au mieux. Ils ...