Evolutions (11) - Histoires de Sexe

Evolutions (11)

... dessous-de-bras profitent du soleil, et ses jambes sont largement écartées, ce qui expose sa vulve.

Cette dernière tout comme les autres parties de sa peau qui n’ont jamais vu le soleil avant, ce qui comprend bien évidemment ses gros seins, ont été généreusement enduites de crème solaire. Sa touffe n’a pas été épargnée, puisqu’elle est à présent toute brillante, et les rayons de l’astre du jour lui donnent des reflets bleutés, que je trouve très jolis. Alice n’a pas jugé utile de se protéger ailleurs, sans doute parce que tout comme le mien, le reste de son corps magnifique est habitué à se haler progressivement, avec l’arrivée des beaux jours.

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Je ne peux pas voir son regard parce qu’elle a chaussé ses lunettes de soleil aux verres fumés, mais lorsqu’elle me voit arriver, elle me sourit, avant de se renfrogner et de me demander :

— Il y a un problème, mon Amour ?

— Rien de bien grave, ma Chérie, puisque c’est juste mon vieux tacot qui refuse de démarrer.

— Dans ce cas, tu vas devoir comme tu me l’as dit me raccompagner demain en bus ou à vélo. Et je dois dire que je trouve la deuxième option, beaucoup plus romantique.

— Ah bon ? Et tu serais sur le porte-bagages pendant que je pédalerais ?

— Oui, avec mes bras passés autour de ta taille.

Cette éventualité me tente, cependant, le trajet entre nos deux maisons durerait au moins une heure, et encore autant pour moi lorsqu’il me faudrait rentrer, c’est pourquoi je lui dis :

— Il y aurait une ...

... autre solution, mais qui risque de chambouler encore notre douce quiétude.

Cela me vaut cette fois un sourire ironique de sa part, certainement à cause du fait que nos parties de jambes en l’air sont tout sauf calmes, puis elle me fait :

— Tu as déjà chamboulé ma vie, alors un peu plus ou un peu moins...

Cette remarque dite sur le ton de la plaisanterie me plaît énormément, et je souris à mon tour avant de lui exposer mon idée :

— L’alternative serait que Marc vienne me donner un coup de main, parce qu’il est déjà venu me dépanner plusieurs fois, et que je suis convaincu que cette fois encore, il va y arriver. Seulement Charlène à qui il a sans aucun doute déjà parlé de toi, risque de vouloir l’accompagner.

Alice me répond alors sans rougir :

— Cela implique que je vais devoir faire plus de sauce pour les spaghettis bolognaise, ce qui n’a rien de bien contraignant. De toute façon, tu avais déjà l’intention de me les présenter, alors un peu plus tôt ou un peu plus tard...

— J’avais plutôt pensé de lui proposer de venir demain matin, pour ne pas le prendre de court, et de leur proposer de manger la paëlla avec nous. Car je me suis dit qu’avec ce qu’on a acheté, il y en aura bien assez pour quatre. Mais avant de lui téléphoner, je voulais avoir ton accord, et bien entendu, cela se fera en fonction de leurs disponibilités, parce qu’ils ont peut-être déjà prévu de faire autre chose.

— Si tu veux ma bénédiction, tu l’as mon Amour.

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Je n’en attendais pas ...