1. Les hommes préfèrent les rondes et sortent avec des blondes


    Datte: 21/03/2020, Catégories: fh, gros(ses), fête, amour, odeurs, Oral préservati, pénétratio, coupfoudr, attirgros, Auteur: Forti, Source: Revebebe

    ... cette femme. Je cherche ses yeux en essayant de garder le tempo – ce n’est pas facile pour moi. Ils brillent. Je les trouve encore plus beaux que tout à l’heure.
    
    Mon regard la caresse. J’ai l’impression qu’à chaque pas de dance nos corps s’attirent et se rapprochent.
    
    La disco entame« A whiter shade of pale ». Je prends Élodie par la main. Je me rapproche. Nous nous enlaçons. Elle me fait un collier de ses bras et je pose mes mains sur ses hanches.
    
    Je sens son parfum capiteux. Notre slow devient de plus en plus langoureux. Sa tête se laisse aller sur mon épaule. Mes mains glissent de ses hanches à sa croupe rebondie. Sa main caresse délicatement ma nuque. J’ai du mal à cacher l’excitation qui déforme mon pantalon. Je cherche ses lèvres. J’y dépose d’abord un petit baiser léger. Enhardie, ma langue force la barrière et va à la rencontre de sa langue. Telle une place forte déjà conquise, sa bouche s’ouvre et m’accueille. Nos langues s’emmêlent et s’affolent. Je la serre plus fort. La série de slows est terminée, mais ignorant un« Beat it » tonitruant et les danseurs, nous restons enlacés au milieu de la piste.
    
    La soirée se termine très tard le lendemain matin. Nous l’avons finie dans un coin discret nos bouches et nos mains à la découverte de l’autre. Je suis sous le charme.
    
    Nous nous séparons quelques heures avant pour nous retrouver au barbecue organisé avec les amis des deux époux pour rester dans l’ambiance de la fête.
    
    La nuit fut courte et en même temps ...
    ... très longue. Je me suis tourné et retourné dans mon lit en pensant à la magnifique rencontre que je n’imaginais pas en venant à ce mariage. La fatigue aidant je me suis endormi une petite heure avant de me glisser sous une douche bien chaude. Nu sous le jet chaud, je repensais à elle et imaginais son corps que mes mains avaient dessiné une partie de la nuit.
    
    Nous nous retrouvons sous les regards amusés et bienveillants de nos amis et connaissances. Nous ressentons le besoin d’être en contact, nos mains sont enlacées, nos lèvres comme soudées. J’ai craint qu’elle ne veuille pas donner suite à la soirée de la veille mais elle semble aussi avide que moi de caresses et de baisers.
    
    Elle est toujours divine dans une tenue décontractée, jean et large chemisier blanc. Son chignon est tombé et ses cheveux sont attachés avec un ruban. Elle a légèrement maquillé ses yeux verts qui me regardent avec tendresse. Toute la journée nous ne pouvons nous quitter des yeux. Nos mains cherchent toutes les occasions de se toucher. Bien qu’il y ait suffisamment de chaises pour tout le monde, elle est le plus souvent assise sur mes genoux son bras passé autour de mon cou.
    
    Après plusieurs verres, 3 ou 4 saucisses, des restes de pièce montée et quelques jeux idiots, je propose de la raccompagner chez elle.
    
    Elle m’offre le traditionnel et superfétatoire dernier verre. Assis sur le canapé, je la prends dans mes bras. Mes mains se glissent sous sa chemise. Sous la pression, le premier bouton ...
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