-
Les hommes préfèrent les rondes et sortent avec des blondes
Datte: 21/03/2020, Catégories: fh, gros(ses), fête, amour, odeurs, Oral préservati, pénétratio, coupfoudr, attirgros, Auteur: Forti, Source: Revebebe
Je suis bras dessus, bras dessous avec Élodie et nous remontons les Champs-Élysées par ce chaud après-midi de juin. Élodie est une grande jeune femme que j’ai rencontrée la semaine dernière au mariage d’un copain. Je parlais avec un petit groupe de connaissances un verre de champagne à la main lorsqu’elle est apparue du fond de la salle. Je l’ai tout de suite remarquée. Dans une robe blanche en broderie anglaise elle avançait d’une démarche sensuelle du haut de ses escarpins blancs. Une grosse ceinture rouge, accessoire indispensable de la robe blanche à un mariage, rappelait la couleur de ses lèvres. Ses cheveux relevés dans un chignon très sophistiqué ne masquaient rien de son doux visage et surtout de ses grands yeux verts. Elle dépassait de quelques kilos les canons de beauté actuels, mais ce n’était pas pour me déplaire. Je la suivis du regard jusqu’à ce quelle embrasse les cousins de la mariée. Je continuai à déguster les petits fours en bonne compagnie. Puis vint le moment de rechercher ma place au banquet. Je la trouvai à la table des célibataires. Je connaissais déjà les filles à ma droite et à ma gauche. Par contre, l’Élodie qui était placée face à moi m’était inconnue. Elle n’était pas encore arrivée. Son nom charmant était un bon signe, mais je repensais néanmoins à la fille en blanc. C’est alors qu’elle s’approcha de la table. Était-elle célibataire ? Ou seulement seule ce soir ? L’air légèrement contrarié, elle s’assit finalement en face de moi. ...
... Voilà un repas de mariage qui commençait bien. Je réussis à la faire participer à la conversation. Elle se détendit. Au bout d’un moment nous finîmes par exclure nos voisins. Au cours du repas nous avons parlé de nos liens avec les époux — elle était une copine d’école de la mariée –, de tout, de nous. La soirée avançant, je commençais à me noyer dans ses yeux verts et je dois l’avouer également dans son splendide décolleté. Surtout lorsqu’elle se penchait pour me parler malgré le tintamarre de la fête. Elle est une femme pulpeuse aux épaules rondes et aux seins lourds comme je les aime. Son sourire éclaire son visage qui, est-ce le vin, mon charme ou mon humour, s’illumine de plus en plus. À un moment, je touche sa main par-dessus la table dans le feu de la conversation. Elle n’ôte pas sa main de sous la mienne. Le contact ne semble pas la gêner, au contraire je crois qu’il lui est agréable. En si charmante compagnie la soirée passe très vite et bientôt les couples quittent la table pour se lancer sur la piste de danse. Je dois vous confier que cela n’est pas mon meilleur atout. J’ai peur qu’elle ne quitte la table pour se mêler à d’autres groupes. Alors que je m’interroge sur le moyen de la retenir à ma table, elle se lève. Je suis aux anges lorsqu’elle me propose de me joindre à elle pour un petit tour sur la piste. Je profite de ce que nous sommes debout pour admirer ses courbes généreuses qui ondulent au rythme de la musique. Je suis troublé par ...