1. Les six week-ends marquants d'Emilie (1)


    Datte: 18/01/2018, Catégories: Hétéro Auteur: fantaflo, Source: Xstory

    ... administratives dès le lundi suivant.
    
    Nous revenons à l’hôtel et montons dans la chambre où nous faisons l’amour très agréablement. Mais de la même manière qu’en arrivant, 7h plus tôt.
    
    Au matin, je me réveille avant elle. Il est 8h30. J’essaye de ne pas faire de bruit en allant aux toilettes, mais Emilie ouvre les yeux alors que j’en reviens. Baiser. Elle va à son tour à la salle de bains puis revient précipitamment se lover son la couette. Nouveaux baisers et des caresses. Emilie me masturbe un instant puis je lui dis de se tourner. Elle est humide et elle me dirige en elle, en cuillères. Après un moment, je prends la jambe supérieure d’Emilie et la soulève pour lui faire écarter les jambes. Lentement, je passe mon bras sous son épaule puis je la fais rouler afin qu’elle vienne sur moi. Dans le miroir face à nous, l’image crue, en premier plan, de nos sexes emboîtés.
    
    — Regarde-nous...
    
    Emilie pose ses pieds de part et d’autre de mes jambes et s’y appuie pour aller et venir sur mon sexe. Je lui dis :
    
    — Continue... J’aime voir mon sexe pénétrer le tien...
    
    Je passe la main sur son sexe et commence à caresser son clitoris. Emilie continue ses mouvements et regarde fréquemment le miroir. Elle jouit.
    
    Doucement alors, elle se redresse avant de se pencher en avant. Une fois installée, elle reprend ses mouvements de va-et-vient. Je suis ravi de cet ébat. Je mate cet incroyable cul qui monte et descend sur ma bite. De mon pouce, je caresse doucement l’anus ...
    ... d’Emilie.
    
    Lorsqu’elle cesse ses mouvements, je la pousse légèrement pour qu’elle sorte puis je m’agenouille derrière elle. A quatre pattes face au miroir, Emilie crie doucement quand je la pénètre. Rythme lent, je regarde ses seins bouger dans la glace. Je ralentis et prends l’épaule d’Emilie. Je l’attire vers moi pour qu’elle se redresse et qu’elle fasse face au miroir. Je lui murmure :
    
    — Tu es si sensuelle quand tu fais l’amour...
    
    — Mmmmh...
    
    — Ça se voit que tu aimes ça...
    
    — Mmmmh...
    
    — Tu sais ce dont j’ai envie ? De te prendre fort en levrette.
    
    — Mmmmouih...
    
    — Envie que mes hanches claquent contre tes fesses, que ta résistance vacille mais ne cède pas...
    
    — Mmmh... Oh oui...
    
    — Envie que ma bite chauffe dans ta chatte brûlante... Dis-le-moi...
    
    Après quelques secondes de gémissements, Emilie se lance :
    
    — J’ai envie de... ta... bite... et que tu... me prennes... fort...
    
    Excité par ces mots qu’elle ne m’avait jamais dits, je la relâche et entreprends de l’astiquer vigoureusement. Emilie semble ravie de cette énergie et gémit bruyamment. Mon orgasme survient rapidement. Trop à mon goût. Et sûrement trop vite aussi pour Emilie. Néanmoins, elle semble ravie de ce que nous avons fait.
    
    D’excellente humeur, nous prenons notre temps au petit-déjeuner. Je me ressers plusieurs fois de tartines et Emilie se fiche tendrement de moi. Nous remontons ensuite et dans la chambre, je l’attire à moi pour l’embrasser avec passion. Mes mains glissent sur ses ...
«1...3456»