1. Les six week-ends marquants d'Emilie (1)


    Datte: 18/01/2018, Catégories: Hétéro Auteur: fantaflo, Source: Xstory

    ... trouvait trop cher. Emilie est aux anges :
    
    — Tu es fou ! Tu n’aurais pas dû ! Mon Dieu, il est magnifique...
    
    Elle trouve dans un second temps le porte-jarretelles qui complète l’ensemble, avec des bas adaptés. Emilie regarde l’article avec circonspection :
    
    — Tu as aussi pris le porte-jarretelles, tu n’es vraiment pas bien...
    
    — Pourquoi ? Il ne te plaît pas ?
    
    — Ce n’est pas ça, mais je n’en porte pas.
    
    — J’ai vu qu’il n’y en avait pas dans ta commode. J’ai pensé que ça manquait.
    
    Emilie rit.
    
    — Ça manquait ? Je ne sais pas si ça manquait vu qu’il n’y en a jamais eu.
    
    — Tu n’en as jamais porté ?
    
    — Non, jamais. Et c’est la première fois que l’on m’en offre un.
    
    — Tu le mettras ?
    
    — A la maison, pour te faire plaisir, oui. Pour sortir... heu... on verra !
    
    Je ris à mon tour. Nous nous embrassons. Emilie m’offre une magnifique chemise blanche.
    
    Nous passons ensuite à la douche et nous nous préparons à descendre manger au restaurant. Emilie a mis une nouvelle robe longue, grise, droite et un peu stretch. Devant le miroir, elle ne semble pas satisfaite que l’on distingue autant son soutien-gorge, tant à travers le tissu qu’au niveau des bretelles de la robe. Je ris :
    
    — Pourquoi tu n’enlèverais pas tout simplement le soutien-gorge ?
    
    Elle me regarde avec hésitation. Puis elle l’enlève et replace sa robe.
    
    — On ne voit plus le soutien-gorge, mais on voit tout le reste.
    
    Ses tétons sont magnifiquement dessinés dans le tissu.
    
    — J’aime bien, ...
    ... c’est sexy sans être vulgaire.
    
    Elle se tourne, se regarde sous toutes les coutures. Je tente :
    
    — On voit aussi ton string...
    
    Sans me regarder, Emilie ôte son string et sourit à son reflet dans le miroir.
    
    — C’est bon, là on peut descendre.
    
    Je ris.
    
    Nous passons la porte et refermons. Le restaurant est plein et il n’y fait pas si chaud. L’apparition d’Emilie ne passe pas inaperçue et cela la gêne. A table, la situation s’arrange et Emilie me dit qu’elle n’avait jamais été nue sous un tissu qui en révèle tant. Nous mangeons très bien, pas trop. Ce souper nous ravit. Alors que nous buvons un petit digestif, je me rends compte que le restaurant s’est bien vidé.
    
    Il est 22h30 quand nous décidons de quitter la table. Je propose à Emilie de sortir au frais. Je monte vite chercher nos manteaux et nous flânons jusqu’au débarcadère. Jambes nues sous sa robe, Emilie n’a pas chaud du tout. Au débarcadère, j’ouvre son manteau et l’air frais qui s’y engouffre fait immédiatement darder ses tétons comment deux belles pointes féroces décidées à transpercer le tissu. Je ris. Emilie aussi. Elle referme son manteau et je la prends dans mes bras. Nous échangeons des mots doux. Elle me dit :
    
    — J’ai envie qu’on s’installe ensemble. Chez toi, chez moi ou ailleurs, mais ensemble. Je me sens seule et perdue lorsque tu n’es pas avec moi. Je ne peux plus me passer de toi.
    
    Nous nous embrassons et nous décidons très vite d’emménager chez elle. Je lui dis que je ferai les démarches ...
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