1. Corinne au culot (et déculottée)


    Datte: 20/03/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Micky, Source: Hds

    ... en compagnie de son patron. D'autres regards avaient capté la même scène mais ils étaient courroucés, envieux et parfois même mesquins...
    
    Dans un premier temps, Pierre fit l'honneur de son salon à Corinne en lui montrant ses tableaux et ses objets de valeur. Puis il l'entraina dans une pièce très particulière, fermée mais entourée de miroirs, y compris au plafond. Une grande banquette trônait au milieu de la pièce.
    
    - C'est mon jardin secret, lui souffla-t-il à l'oreille.
    
    - Je vois, lui répondit succinctement Corinne.
    
    Elle se découvrit sous toutes les coutures, et put apprécier son décolleté dorsal sous un angle inhabituel. Elle vit donc la main de Pierre s'y insinuer en même temps qu'elle ressentait son léger toucher. Elle frissonna, mais ne le repoussa pas. Enhardi, l'homme poursuivit son exploration pour arriver au ventre et en apprécia le satiné. Sa main remonta vers les seins dont il titilla les pointes qui, constata-t-il non sans satisfaction, avaient durci. Elle redescendit par les flancs jusqu'au fesses et un doigt s'insinua dans la séparation jusqu'à l'oeillet. A ce contact, Corinne ressentit une forte humidité envahir son intimité. Il avait découvert un de ses points sensibles. Puis la main contourna les hanches et atteignit le pubis. Au moment où elle allait atteindre sa chatte, Corinne l'attrapa et la maintint fermement à distance :
    
    - Non, pas ça.
    
    - Même pas une petite caresse ? Tu as l'air d'aimer ça.
    
    - Si tu veux plus, il faut m'en donner ...
    ... plus.
    
    - C'est à dire ?
    
    - Il faut nommer mon mari chef de service.
    
    Pierre en resta coi et en retira sa main. "Elle est gonflée, cette nana", pensa-t-il. Il répliqua :
    
    - Je n'ai pas l'habitude de prendre ce genre de décision sous la pression, fut-ce d'une jolie femme.
    
    - Alors, restons-en là. Je retourne au jardin.
    
    Il y eut alors un moment de flottement. Corinne remarqua la bosse sur la pantalon de Pierre. Surtout ne rien lâcher.
    
    - Ecoute, lui dit-il, on fait l'amour ici, j'ai très envie de toi et je te promets que ton mari en profitera.
    
    - Tss tss... Tu vas signer un papier qui t'engage d'abord.
    
    Et elle sortit de son sac une feuille dactylographiée où il était mentionné le nom du patron et celui de son mari, l'un s'engageant à nommer l'autre au poste convoité. Pierre le lut d'un air interdit. Pendant ce temps, Corinne s'était accroupie, avait ouvert la braguette et fait surgir le dard qu'elle avait embouché. L'homme soupira profondément. Elle le tenait par la queue, c'était clair.
    
    - Alors, tu signes ? souffla-t-elle entre deux succions. Et de lui tendre un stylo trouvé dans son sac, qu'elle portait toujours en bandoulière.
    
    - Oui, oui, je signe.
    
    Et il s'exécuta sur un coin de table pendant que Corinne se débarrassait de sa robe et de ses escarpins pour s'allonger, nue autant qu'on peut l'être et cuisses à demi entrouvertes sur la banquette au milieu de la galerie des glaces.
    
    - Alors viens maintenant, lui dit-elle, j'en meurs d'envie et tâche ...