1. Corinne au culot (et déculottée)


    Datte: 20/03/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Micky, Source: Hds

    ... le patron devait accueillir ses subordonnés. Il regarda Corinne sortir de la voiture et frémit quand il vit la robe se retrousser très haut sans qu'elle prenne la précaution de fermer les cuisses. Heureusement, la portière s'ouvrait dans le bon sens et il n'y avait personne pour les accueillir...
    
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    Un grand buffet avait été installé dans le vaste jardin derrière la maison et la plupart des invités étaient déjà présents. Christophe et surtout Corinne firent une entrée remarquée. Si le premier se sentit mal à l'aise devant tous ces regards braqués, la seconde en fut aussitôt flattée et sourit à la cantonade. Elle fut aussitôt l'objet d'empressements mâles venus la saluer et tourna sur elle-même au gré des salutations et présentations pour faire apprécier sa tenue. Elle ne pouvait pas ne pas remarquer les grimaces de dépit de la plupart des femelles présentes, à la mise beaucoup plus conventionnelle.
    
    L'homme le plus empressé fut le patron lui-même, prénommé Pierre, un quinqua alerte, divorcé deux fois, dont les conquêtes féminines étaient notoires. Il lui tendit une coupe de champagne et lui servit quelques banalités d'usage tout en la complimentant pour sa bonne mine. Stoïque, Christophe se tenait légèrement en retrait et surveillait le duo du coin de l'oeil tout en conversant avec ses collègues, lui aussi un verre à la main.
    
    La soirée s'avança. Les invités firent honneur au somptueux buffet après avoir entendu le discours de bienvenue du patron. Des fauteuils ...
    ... en plastique gonflés à l'air offraient la possibilité de manger assis, à la fois confortablement pour le corps et périlleusement pour les vêtements. Corinne s'y enfonça une assiette à la main à l'invitation du patron qui s'assit en face d'elle. A l'instant, sa préoccupation n'était pas de fermer les jambes mais de tenir son assiette en équilibre et le patron eut ainsi une vue plongeante sur son intimité que le bref mais incontestable écartement de ses cuisses avait révélée. Il faillit en lâcher son assiette et Christophe, qui n'avait rien perdu de la scène, placé qu'il était face à son épouse, debout derrière le patron, blêmit. Encore n'avait-il pas vu le visage de son hôte, qui s'était brièvement empourpré. Le malheur est que la femme d'un collègue, réputée pour son venin verbal, avait également tout vu. Deux personnes, en plus de Christophe, savaient désormais que Corinne ne portait pas de culotte. Deux personnes qui allaient bientôt se multiplier par l'effet des commérages.
    
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    Par la suite, Pierre l'hôte ne quitta plus Corinne d'une semelle, au grand dam des autres invités. Christophe renonça à toute surveillance, du reste inutile. Gaie et virevoltante, son épouse était ravie d'être le centre de la fête et même d'être prise en charge par le patron, qui ne cessait de lui offrir à boire. La nuit était tombée lorsqu'il lui proposa de visiter son hôtel particulier. Inquiet, Christophe vit le dos nu de son épouse quitter le jardin pour entrer dans la pièce attenante ...
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