1. La Gestionnaire (11)


    Datte: 31/03/2018, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory

    ... débande lentement. Z se retire de la bouche de Charlotte. Mais, comme tout jeune homme, il bande toujours. Il me regarde.
    
    — Je peux la baiser ?
    
    — Bien sûr, mais tu ne présumes pas trop de tes forces ?
    
    — Tu vas voir !
    
    Charlotte se redresse. Elle finit d’avaler la semence de Z. Elle se lèche les lèvres pour ne pas en perdre une goutte.
    
    — Jérôme, tu peux l’attacher de nouveau ?
    
    — Z, tes désirs sont des ordres...
    
    — Charlotte, donnes tes bras !
    
    Charlotte en soumise docile, me tend les bras pour que je verrouille de nouveau les mousquetons. Z ne prends pas de gants. Il enfile le sexe dégoulinant de mouille comme un sapeur. Charlotte pousse un cri de surprise. Mais elle absorbe la bite. Z la pilonne comme un forcené. Il force le sexe, pousse à fond. Charlotte crie:
    
    — Va doucement, ne cogne pas au fond !
    
    Z ne tient pas compte des souhaits de Charlotte Il brutalise le sexe offert. Il se vide dans l’antre chaud en poussant quelques coups. Il remballe son sexe et me dit:
    
    — Allez, on y va, on va être en retard...
    
    Il n’a pas de regard ou ne tente pas de caresse pour Charlotte. Il a pris une femelle et ensuite, il la jette. Charlotte aura –t-elle comprit ou souhaite-t-elle ce genre de relation, je n’en sais rien ? Je baisse la jupe de Charlotte et referme sa veste. Je lui caresse la joue et l’interroge :
    
    — Alors, c’est vraiment ce que tu cherches ?
    
    — Merci Jérôme, ce que tu viens de m’offrir m’a particulièrement satisfaite... merci...
    
    — Ne ...
    ... crois pas que c’est terminé, ce ne fait juste que commencer... je te laisse, je vais rejoindre mon jeune ami... à plus tard, Charlotte ...
    
    Je m’installe dans la cabine, à côté de Z qui a pris le volant. Charlotte est restée attachée dans la caisse. Z sort du parking et se faufile dans la circulation dense de la fin de journée. Nous gagnons rapidement les faubourgs de la banlieue. Nous entrons dans une zone industrielle. Celle-ci se fait remarquer par de nombreuses usines abandonnées. Les vitres sont brisées et les portails sont grands ouverts. Z tourne et entre dans la cour gigantesque de l’une d’elles. Il roule doucement pour éviter les nids de poule. Malgré tout, les cahots sont importants. Je me retourne et regarde par la lucarne dans la caisse. Charlotte est ballottée de droite à gauche. Heureusement qu’elle est attachée...
    
    Z stoppe le véhicule face une très grande porte. Comme par miracle, celle-ci est encore en état. Il klaxonne. Deux coups brefs et un coup long... Le battant s’ouvre.
    
    — C’est la caverne d’Ali Baba ?
    
    — Non c’est la mienne...
    
    Voyant mon sourire et surtout mon rire étouffé, il m’interroge:
    
    — Tu te fous de ma gueule ?
    
    — Un peu...
    
    — Pourquoi, qui c’est cet Ali Baba ?
    
    — Laisse c’est une histoire de gamin, une histoire que tu aurais dû lire, il y a quelques années...
    
    Mais déjà, il ne s’intéresse plus à mes dires. Un grand hall est découvert par la porte. Le véhicule entre et roule jusqu’au fond. Il s’immobilise devant une porte ...
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