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La Gestionnaire (11)
Datte: 31/03/2018, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory
... retentit. Par l’interphone je lui ouvre et lui dit de monter dans l’ascenseur. Quelques secondes plus tard la porte de la cabine s’ouvre. Zinédine est dans mon salon — Putain m’sieur, comment tu fais ça ? — Quoi ça ? — Y a pas de bouton dans l’ascenseur ! — Je le commande d’ici... — C’est chouette chez toi ! Il visite. — Tu veux prendre quelque chose ? — Oui une binouze !! Enfin si t’as ! Je lui sers une Carlsberg. — Alors que veux-tu exactement ? — Voilà Zinédine... — Appelle-moi Zède... — Z, j’ai une amie qui a des fantasmes plein la tête. Elle a des envies inavouables et m’a demandé de les satisfaire... — Pourquoi tu t’adresses à moi, t’es impuissant ? — Non loin de ça... mais elle veut être à la merci de plusieurs hommes... — Et tu es tout seul... — Oui... alors crois-tu que tu puisses m’aider... — Sans problème... ta meuf a envie de se faire ramoner par un groupe de jeunes mecs... je vais t’organiser cela ... — Tu veux faire cela quand ? — Ce samedi, si tu peux... — Elle est en manque, ce n’est pas possible... — Tu ne peux pas ? — Si si... ne t’inquiète pas... je te rappelle jeudi à la même heure... OK ? — OK ! Au fait ! Elle ne veut que des mecs entre 20 et 30 ans ! OK ? — Allez bye fais-moi sortir de ton antre... Je lui ouvre la porte de la cabine et l’expédie dans le rez-de–chaussée. Je passe un coup de fil à Charlotte. — Que fais-tu ce week-end ? — Rien mon Maître adoré, je ...
... t’attends... — Pour une fois nous allons changer... je t’attends au train vendredi soir... communiques-moi ton heure d’arrivée. — Je réserve tout de suite et je te rappelle. Sa venue est rapidement conclut. Je la récupère à Montparnasse vers 19h30. La semaine passe très vite. Les rendez-vous s’enchaînent les uns aux autres. Jeudi soir, Z me téléphone : — C’est OK pour ta meuf... je lui ai concocté un truc super... — Explique-moi... La conversation dura environ une demi-heure. Z se révèle comme un vrai organisateur. Tout est prêt pour samedi soir. Je vais chercher Charlotte au train. Elle descend de la rame du TGV. Elle est repérable parmi tous les passagers. Sa tenue est repérable à cent mètres. Elle porte un cache-poussière noir. Ce dernier n’est pas fermé. A chaque enjambée, les pans du grand vêtement laissent apercevoir ses cuisses. Gainées de noir, elles sont habillées de bottes mousquetaire noires. En haut des cuisses, un short très court noir, lui aussi lui moule le sexe. On peut deviner les lèvres serrées par le cuir. Au-dessus, un pull noir en cashmere, enserre sa lourde poitrine. Le décolleté laisse deviner un sillon profond entre deux globes jumeaux. Elle arrive, fière, altière, sûre de son charme et de l’effet qu’elle produit sur tous les hommes qui la suivent des yeux. Elle s’approche de moi. Elle pose son sac au sol et me jette ses bras autour du cou. Elle me plaque un baiser à couper le souffle à une forge. — Bonjour, mon Maître adoré... Que m’as-tu ...