1. Méli-Mélo


    Datte: 19/03/2020, Catégories: hh, fhh, hbi, fplusag, cocus, vengeance, Oral pénétratio, hsodo, BDSM / Fétichisme baillon, yeuxbandés, confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... imperturbable :
    
    — Avec des amis ; tu ne les connais pas.
    
    Il ne va pas tarder à savoir.
    
    Jeudi, 18 heures. Thomas n’est pas encore arrivé du lycée. Armelle est chez elle ; elle entre dans sa chambre. Elle téléphone.
    
    — C’est gentil, Roman, de prendre de mes nouvelles. C’est vrai que le retour a été difficile. Vous m’avez épuisée. J’étais sur un petit nuage.
    — …
    — Dans ma chambre. Je vais prendre une douche avant l’arrivée de Thomas. Avec tout ce que vous m’avez balancé, je colle de partout et j’ai la chatte et le cul qui coulent encore.
    — …
    — Des reproches ? Non, au contraire. C’était super. Je me demande juste comment je pouvais faire avant de te connaître, toi et tes collègues. À côté, mon mari – et même Franck – sont des petits joueurs.
    — …
    — Non, ni l’un ni l’autre. J’aurais trop peur d’être déçue ; mais au moins avec Thomas, il va falloir que je fasse des efforts sinon il va se douter de quelque-chose.
    — …
    — En fait, j’ai juste une demande. La baraque de chantier, c’est un peu glauque ; la prochaine fois, vous pourriez venir à la maison ? C’est tout de même plus confortable.
    — …
    — Des heures supplémentaires ? Tu rigoles ! Tu vas voir, c’est eux qui vont te payer. Je vais te les vider. Ils adorent les bourgeoises.
    — …
    — Thomas ? Ce n’est pas un problème. Le jeudi, il ne rentre qu’après 18 h. C’est ce jour-là que je recevais Franck. Surtout, amène Jacek : il a une verge magnifique, et j’ai bien failli étouffer quand il a juté dans ma bouche. ...
    ... D’ailleurs, je sens encore l’odeur de sa crème.
    — …
    — Mais pourquoi tu veux que j’aille au sous-sol ? Tu le connais, non, Thomas te l’a bien déjà montré.
    — …
    — Au plafond ? Mais ce n’est pas très haut, je peux le toucher avec les mains.
    — …
    — Bon d’accord, je vais regarder. Des crochets ou des tuyaux ? Qu’est-ce que tu as derrière la tête ? Par contre, le réseau ne passe pas. Je descends et je te rappelle après.
    
    Armelle sort de la chambre et ne revient qu’après une dizaine de minutes. Elle parle à nouveau au téléphone.
    
    — Cochon ! Pervers ! Tu as une imagination sans limites. Avec toi, on ne s’ennuie pas. Je suis impatiente d’être à jeudi prochain.
    — …
    — Oui, j’ai compris. Mais si, je comprends pour les menottes, le gadget aussi.
    — …
    — D’accord, j’obéis. Mais ne vous faites pas remarquer ; laissez la camionnette plus loin. Ne sonnez pas. Comme je serai en bas à vous attendre, toute chaude et prête à tout, je laisserai la porte ouverte. Tu connais le chemin.
    — Je raccroche, j’entends Thomas qui rentre…
    
    Il est 16 heures passées lorsqu’Armelle les voit enfin arriver. Un moment elle a pensé que son piège n’avait pas marché. Mais si ! Son mari accompagné de son amant se glissent silencieusement dans l’entrée. Coup double. À deux, ils se sentent certainement plus forts pour affronter ce qu’ils redoutent de trouver au sous-sol : sa femme, sa maîtresse soumise au bon vouloir d’une équipe d’ouvriers commandée par Roman, leur patron.
    
    Elle devine leur surprise lorsqu’ils ...
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