Ma tante et sa femme de ménage (1)
Datte: 18/03/2020,
Catégories:
Erotique,
Auteur: sexag, Source: Xstory
... tentant.
— Non, vous pouvez toucher.
— Allons, Ginette, tu ne vas pas te faire peloter par un homme qui pourrait être ton père et en plus, devant moi ?
— Oh ! Madame, je vous ai souvent surprise à me mater et à regarder sous mes jupes quand je me penche pour faire le ménage.
— C’est vrai que je trouve ton jeune corps excitant, mais tu sais, à mon âge, je ne peux rien espérer, alors comme tu dis, je mate et prends des plaisirs solitaires.
— Vous avez tort de dire cela, on peut se faire plaisir à tout âge et je pense que les occasions ne manquent pas. Vous semblez avoir un joli corps.
Pendant ce bref échange, j’ai plongé une main dans le corsage et après une caresse bien appuyée, j’entreprends de titiller puis pincer durement le mamelon dressé comme un dard.
— Je suis sûr que vous mouillez Ginette.
— Vous avez raison, vous pouvez aller voir.
Je passe donc délicatement ma main sous la jupe que la salope n’a pas de peine à relever, j’écarte le string et commence une exploration à travers une toison particulièrement velue et effectivement abondamment humectée de cyprine. J’entre rapidement en contact avec un clito aussi bandé que le téton.
— Oui, fouille-moi bien Louis, j’ai envie, je sens que tu bandes toi aussi.
C’est alors qu’elle défait mon pantalon qui tombe à terre et laisse voir ma queue raide qui sort de mon boxer.
Je lâche le sein toujours prisonnier de ma main droite et descends sur les fesses de ma nouvelle partenaire. Je plaque ...
... ma queue sur son ventre, elle se met à genoux et entame une fellation digne d’une vraie professionnelle.
Ma tante Marie qui ne perd pas une miette de notre petit jeu semble particulièrement excitée et, assise sur le canapé, commence à se caresser l’entrejambe puis les seins.
— Vas-y Louis ! Baise-la, elle m’a l’air d’être une jolie salope.
— Vous ne perdez rien pour attendre Madame, chaque fois que je vous surprenais à me mater, je me disais : je la baiserai, mais je n’osais pas franchir le pas. Quand votre neveu m’aura bien fait jouir, je viendrai vous bouffer.
— Tu m’excites petite pute, mais quand je vois l’imposante bite de Louis, elle me fait envie. Cela fait tellement longtemps que je ne me suis pas fait baiser ou enculer par une vraie queue que je ne voudrais pas manquer l’occasion.
— Enfonce-moi Louis, baise mon con, caresse-moi le cul, j’ai envie de me faire défoncer, lâche-moi toute ta sauce dans la chatte ou non, je veux que tu m’encules, je suis tellement mouillée que même mon cul est lubrifié.
Aussi tôt dit, aussi tôt fait, j’empoigne Ginette par les hanches et sans ménagement, lui enfourne mon dard dans le cul. Au début, elle émet un petit cri de douleur, mais ensuite, c’est elle qui se déchaîne en accompagnant les mouvements de va-et-vient.
— Hum... c’est bon, casse-moi la rondelle, et fais-moi jouir du cul, il paraît que c’est sublime. Vas-y, plus fort, je sens que je monte. Oui, oui, oui ! C’est bon, je pars. Hahhhh...
L’orgasme est ...