1. Ma tante et sa femme de ménage (1)


    Datte: 18/03/2020, Catégories: Erotique, Auteur: sexag, Source: Xstory

    Bonjour, je m’appelle Louis, j’ai 50 ans, 1,75m, 75 kilos plutôt BCBG.
    
    Nous sommes en pleine canicule de juin et sous l’insistance des autorités sanitaires à la télé, nous demandant de faire attention aux personnes âgées, je me décide à appeler ma tante Marie qui a 75 ans et qui vit seule en appartement.
    
    — Allo, Marie ? Comment vas-tu ? Comment t’organises-tu avec cette canicule ? J’ai envie de passer te voir au café cet après-midi.
    
    — Bonjour, Louis, c’est sympa de t’inquiéter pour ta vieille tante. Je me calfeutre près de mon ventilateur et je ne sors presque pas. Bien sûr que je serai contente de te voir. Cet après-midi, j’ai ma femme de ménage, ce qui me libère de tâches désagréables par cette chaleur.
    
    — Bien, je suis chez toi dans une demi-heure.
    
    Un peu plus tard, je me présente donc à l’appartement. Marie m’ouvre en se présentant en déshabillé presque transparent.
    
    — Excuse ma tenue, je me mets à l’aise, je vais passer une blouse.
    
    — Ce n’est pas la peine, tu es chez toi et cela ne me gêne pas.
    
    — Ce sera peut-être plus correct. Plutôt que de te montrer ce vieux corps.
    
    — Mais non, je n’ai pas l’habitude de te voir presque dénudée, mais je t’assure que ce n’est pas indécent, regarde ton imposante poitrine qui apparemment se tient bien, je suis sûr qu’elle ferait envie à bien des hommes.
    
    — Tu es gentil, viens, passons au salon, le café est prêt.
    
    C’est vrai qu’elle est encore bien foutue. En me précédant sous ses pas, sa nuisette dévoile ...
    ... ses fesses cachées par un string en dentelle. J’oserais presque dire que c’est bandant. Assise en face de moi, les jambes croisées, je me surprends d’avoir un regard persistant sur ses cuisses et sur sa poitrine.
    
    Pendant que nous devisons, la femme de ménage passe dans le couloir et j’aperçois une belle jeune femme à la poitrine, elle aussi, généreuse, et habillée d’une petite robe légère, lui arrivant à mi-cuisses.
    
    — Dis donc, elle est mignonne ton employée, elle m’a l’air drôlement bien foutue.
    
    — Oui, je pense qu’elle doit plaire aux hommes et peut-être aux femmes.
    
    Nous partons d’un éclat de rire.
    
    — Ginette approche, que je te présente mon neveu.
    
    — Oui Madame, j’arrive.
    
    — Voilà, je te présente Louis.
    
    Ginette s’approche nonchalamment et se plante devant moi. C’est vrai que c’est une sacrée belle fille. Son corsage dilaté laisse entrevoir une gorge profonde des plus excitantes.
    
    — Bonjour Louis.
    
    — Bonjour, mademoiselle, vous êtes bien jolie, je crains que si un de vos boutons de corsage lâche; vous allez laisser émerger une paire de seins que je devine sans soutien-gorge.
    
    — Excusez-moi. Vous me trouvez indécente ?
    
    — Non pas du tout, c’est même agréable aussi bien que votre minijupe qui dévoile vos jolies jambes et souligne le galbe de votre postérieur.
    
    — Ma poitrine vous plaît donc ?
    
    — On peut dire cela comme ça.
    
    — Vous voulez en voir plus ?
    
    — Oui, mais si je ne peux toucher qu’avec les yeux, ce sera moins agréable et trop ...
«123»