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L a Garce joue son va tout
Datte: 18/03/2020, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
... bois. Nous avions chance. Il faisait beau en ce jour de printemps. Le bois surplombait une plaine et un sentiment de domination et de vastitude nous emplissait. Nous aurions pu croire que nous étions seuls au monde. Cependant je savais de notoriété que ce bois était empli et de couples comme nous et autres voyeurs. Il n'était pas exclu que mon patron eût amené au même endroit d'autres filles dont certaines collègues. Je pouvais me targuer de lui avoir résisté assez longtemps. A présent je cédais avec les honneurs et pour la bonne cause. Je n'en étais pas moins curieuse de mon plaisir attendu. D'abord il tint à immortaliser cela de quelques clichés me concédant cependant d'arborer un petit béret et des lunettes noires afin qu'on ne put me reconnaître. Pour le reste j'exhibais tout. Notamment mes fesses. Après que la minijupe fut à peine relevée, on découvrait celles-ci. La culotte libertine en son arrière grillagé en laissait tout paraître. C'était du plus bel effet. Le boss manifestement ému devant ce spectacle en sortit sa queue pour se branler devant moi. Peu après il approcha tandis que je demeurais appuyée contre une haie. Là il me lécha et me bouffa le cul. Je ne sais comment dire voire décrire la terrible sensation qui m'investit entière. Ce fut une révolution. Je naissais à moi-même. Quelque chose de puissant et de fortuit s'accomplit. Belle au bois dormant réveillée à soi-même en cet instant, je le devais à ce gueux, à ce porc qui se délectait à présent ...
... impunément de mon corps. Futal sur les chevilles il me bourrait maintenant le cul. Je me représentais trop tard que nous étions en terrain découvert et qu'on pouvait nous voir. Notamment l'épaisseur du bois recelait sûrement des voyeurs. Le boss n'en eut cure. Je m'y fis peu à peu. Voire j'en fus bientôt excitée et il m'importait que d'autres se régalassent et pussent être témoin de ma lubricité nouvelle et révélée. Je m'affichais. Je m'assumais putain. Je jouissais ce dont les gémissements ostensibles témoignaient. Au creux de l'oreille l'autre à présent me gratifiaient d'insultes et de termes peu châtiés. S'ensuivaient indifféremment : « Pute, salope, truie, traînée ... Je trouvais justes et doux ces vocables. En d'autres temps j'en eus été offusquée. Quel chemin parcouru en si peu de temps. Mon tyran et amant m'emmena jusqu'à la voiture, sur la banquette arrière. Il voulait y être plus à son aise pour me baiser et achever son ouvrage. Notamment il s'était mis dans la tête d'investir mon petit trou, ma secrète intimité. J’avais toujours eu une saine horreur de ce qu'on appelait sodomie. Heureusement mon mari m'avait toujours épargné une telle fantaisie. Aussi me cabrais-je après que le doigt du patron s'enfonça résolument dans l'anus. Je lui avouais sans ambages que j'étais vierge et rétive à cet endroit. Il rit de bon cœur. Il dit qu'il me voulait entière et me déflorer par là et qu'il serait mon initiateur en y étant délicat comme un joli bedeau. Pouvais-je refuser ? ...