-
L a Garce joue son va tout
Datte: 18/03/2020, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
... combat, je dus traverser une nuit tourmentée non pas comme je l'eus cru mais tel l'augure d'une troublante métamorphose en moi. Ainsi prenais-je conscience soudain du mépris infligé parallèlement par un mari et un patron qui d'une certaine façon ne me valaient pas. La copine avait dénoncé depuis longtemps dans ma personnalité une propension à me soumettre et à avoir trop adhéré à une éducation catholique et puritaine. J’avais été la dupe de tous les hommes. J'avais en partie gâché les meilleures années de ma vie. Il était temps que je prenne ma revanche et jouisse. Je me souvins à cet instant d'un paquet adressé naguère par un soupirant par trop libertin et qui m'avait ardemment dragué durant un an au bureau sans avoir rien obtenu. Un jour ouvrant le paquet qu'il m'avait adressé par la poste, je découvris tout un harnachement libertin qui me fit horreur et rougir à la fois. Au lieu de jeter cela à la poubelle, j'enfouis ledit objet au fond de mon armoire. Ce choix inconséquent trahissait peut-être déjà un coupable intérêt à la chose. J'y vois maintenant comme un signe. Ne devais-je pas inaugurer pour la circonstance cette vêture pour l'honorer ? Le paquet assez volumineux était constitué de cuissardes, de bas résille, d'une gaine, d'un soutien gorge à balconnets et d'une culotte ouverte à tous vents et par trop minimale. J'étais effarée qu'on put imaginer et concevoir ce genre de choses. Je posais ce jour-là un congé. Je ne fus pas peu émue de m'harnacher devant mon ...
... miroir. Je fus fascinée de découvrir à l'intérieur cette créature que j'étais devenue. Un papillon émané d'une chenille. J'eus la faiblesse de me plaire. Je ne me savais pas un pareille potentiel de séduction. J'outrais ce jour-là mon maquillage. Je ressemblais à une putain. La honte de sortir ainsi me retint juste un instant. Heureusement munie d'un long manteau et confinée dans une automobile sortant de son garage, je pouvais espérer échapper à l’indiscrétion de mes voisins. J'exultais sur la route. J’avais l'air de jouer un bon tour à la terre entière. En fait la frousse me taraudait. J’avais pour me guérir de cela emporter dans mon sac, une petite liqueur alcoolisé dont je me sustentais le long du chemin. J’adressais de temps à autre des SMS pour calmer l'impatience du patron déjà parvenu au lieu du restaurant. Le cochon réclamait déjà sa pitance. Me voyant, il sourit décelant peut-être que j’avais bu trahissant mon émoi. Grand prince, il crut devoir me rassurer et d'affecter une courtoisie que je ne lui connaissais pas. Sur ce registre il préféra d'emblée aborder l'affaire de mon avenir professionnel. Il me dit qu'il avait depuis longtemps songé à me promouvoir. Bref il abondait dans mon sens. Outre que je ne serais pas licenciée, il me pousserait à obtenir le poste que je rêvais. Je crus qu'il allait m'avouer qu'il avait fait de même il y a peu pour une certaine garce. Je triomphais en mon for intérieur. Je n'étais pas peu fière de moi. J'étais au ciel. Il claqua ...