Libertinage au Lac Vert
Datte: 17/03/2020,
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Auteur: Ulysse, Source: Revebebe
... et médicales, de sorte que leur liaison avait duré une bonne dizaine d’années.
L’amour d’Aurélie la prit au dépourvu… Saurait-elle le partager ?
—oooOOOooo–
Mélanie, cette nuit-là, ressentit comme un grand bien-être… Quel bonheur d’avoir, à portée de main, la douceur du corps nu d’Aurélie ! Après l’amour, sa compagne s’était endormie dans la paix des corps comblés tandis qu’elle, Mélanie, veillait encore…
Elle avait repris le travail, sans faire le voyage qu’elle avait prévu. Pourquoi partir si loin quand le bonheur était là, juste là, près d’elle, en elle ? Vincent Corbin était reparti à Paris, ayant depuis oublié Aurélie bien avant son départ. Aurélie s’était installée chez Mélanie. Les deux amantes ne voyaient pas la possibilité d’une séparation.
— Tu ne crains pas de t’ennuyer de Paris ? Ici, il ne se passe rien. Il faut aller à Chambéry pour voir les derniers films ; et encore, il faut faire vite car ils ne tiennent pas longtemps, surtout s’ils sont bons !
— Il ne se passe rien ? Mais si, il y a notre amour qui grandit… Et puis, il y a longtemps que la vie parisienne, si creuse, si vaine, m’épuise. Ici, je suis bien. Une vie simple, paisible. Les montagnes, ton Lac Vert, la nature, toi…
— Et ton travail ?
— Je pourrais le faire aussi bien d’ici. Déjà à Paris je travaillais à domicile. Il me suffit de m’entendre avec le patron, d’aller chercher mon équipement et d’installer une meilleure liaison ADSL que celle que tu as pour l’instant, trop lente.
— Et ...
... les hommes ?
— Tu es là, c’est déjà beaucoup ! S’il se trouve que les mâles me manquent, tu voudras bien partager avec moi !
Mélanie ne put s’empêcher de rire…
— Tu sais, chérie, je n’en abuse guère : ton Vincent m’a baisée une fois. Peut-être deux. Le savais-tu ?
— Oui, bien sûr ! Tu sais, il est toujours prêt à tremper sa queue dans une belle chatte qui passe. Il a du savoir-faire et il me rendait le service minimum que j’en attendais, sans passion. Il baise bien, mais il n’est pas très malin. Un macho ordinaire qui ne me manque pas.
— Oui, je te suis. Il est bien représentatif de la gent masculine : baiseur qui ne voit pas plus loin que le bout de sa queue. Il m’arrive de me faire sauter par des amis, ou des collègues à l’hôpital pendant les gardes. Tu sais que c’est plutôt les femmes qui me tentent. Et pour l’instant, tu me suffis. Et les hommes, je ne les estime guère…
— Il y a tout de même ce Descourt que tu m’as présenté l’autre jour…
— Louis ? C’est autre chose : c’est un ami, un vrai, un homme digne de nous. Nous couchons parfois. Mais pas par amour ; par amitié. Et discrètement, car il a une femme et une famille à laquelle il tient.
— Tu ne me le prêterais pas, de temps en temps ? Où le rencontres-tu ?
— Ici même, mais pas tellement souvent.
— Eh bien, tu vois, c’est tout simple ! Nous pourrions faire des parties à trois. Ça ne t’est jamais arrivé ?
— Non, je ne suis pas tellement exhibitionniste. Mais avec toi, cela pourrait venir ; qui sait ? Mais ...