Ces dames du temps jadis (2)
Datte: 14/03/2020,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Bugsy, Source: Xstory
... tunique. Elle n’a même pas à le caresser, son sexe bien dressé, tout dur, est devant elle. Elle cherche ses yeux tandis que sa main s’empare de son vit qu’elle sent déjà vibrer entre ses doigts. Lentement elle commence à le caresser. Depuis tout ce temps qu’elle n’a pas tenu un sexe en main, elle se sent toute fébrile, veut rattraper tout ce temps perdu. Paulus aussi est impatient ! Même si le manque, et donc l’envie, se faisait très cruellement ressentir, et était même parfois bien douloureux, il s’est abstenu pour ne pas passer de l’autre côté, pour ne pas avoir de rapports avec un homme. Aussi son désir ne cède en rien à celui d’Arsinoë et il a autant envie de la prendre qu’elle désire être possédée.
Elle le caresse donc avec beaucoup d’ardeur, voulant ainsi compenser toutes ces semaines sans sexe. N’y tenant plus elle pose ses lèvres sur le gland qui appelle ses caresses, le fait rentrer complètement dans sa bouche. Paulus la prend par les cheveux, la plaque contre lui et brusquement commence à lui baiser la bouche. Généralement elle n’aime pas cette brutalité, elle préfère donner elle-même le rythme à sa caresse buccale, mais dans ce contexte elle apprécie qu’il la prenne ainsi. Elle se laisse faire, appliquant bien ses lèvres sur le sexe qui la défonce, faisant bien attention à éloigner les dents de ce bélier qui la transperce et qui bientôt, elle le sait, elle le sent, la fera chavirer dans le plaisir. Elle se sent déjà toute mouillée, pas loin de l’orgasme, et ...
... elle y parviendra enfin quand après quelques mouvements plus rapides, Paulus se déversera en elle.
Quand elle se relève il la déshabille, puis ôte lui-même sa tunique. Il la conduit à sa couche, la fait s’allonger, se couche à côté d’elle. Dans la pénombre ils se voient à peine, mais leurs yeux sont tout brillants. Ils se caressent, s’embrassent, apprennent à se connaître. Il est impatient de la découvrir, et ses doigts qui ne tiennent pas en place virevoltent sur son corps, dessinant l’arrondi de sa bouche, qui alors les lui suce et les lui mord, s’attardent sur ses seins, jouent avec ses tétons, les pincent, les étirent avant qu’il ne les porte à sa bouche qui longuement elle aussi s’y attarde. En même temps ses mains sont toujours sur son corps, caressant son ventre plat, s’attardant sur son nombril dont il fait de nombreuses fois le tour, frôlent son mont de Vénus avant de descendre sur ses cuisses, jusqu’à ses genoux, puis remontent sur la face intérieure, allant enfin caresser le sexe empli de cette cyprine qui coule en abondance sur ses cuisses. Il la fait languir, la rapprochant sans cesse de l’orgasme sans jamais aller jusqu’au bout, et elle se tord, se tortille sous les caresses de ses mains et de sa bouche.
Elle le supplie, l’implore, elle veut être prise par ce beau légionnaire qui sait si bien faire monter son plaisir. Il est beaucoup moins rustre, bien plus connaisseur des choses de l’amour que ses premiers amants, que son compagnon même et elle sait déjà ...