Deux plus deux
Datte: 13/03/2020,
Catégories:
h,
fh,
hh,
couple,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Auteur: Rimaye, Source: Revebebe
... ne dirais pas ça comme ça. Je suis toujours avec Véro, je la vois, nous nous parlons… Mais ce n’est pas forcément moi qui la caresse… ou la pénètre
— Ça ne te gêne pas de voir ta femme avec un autre homme ?
— Ou avec une autre femme, dit-il avec un large sourire. Eh bien en fait, pas du tout. Peut-être la première fois, car on ne sait pas ce qui va se passer, mais comme je te le dis, nous restons ensemble. Pour moi, nous faisons toujours l’amour, par personne interposée si tu veux.
— Tu veux dire que Véro est lesbienne ?
— Non, pas lesbienne, bisexuelle. Dans ce milieu, toutes les femmes le sont, j’ai l’impression. Ou se découvrent telles. Au début, Véro n’était pas attirée par les femmes, mais à notre deuxième rencontre, la fille a commencé à la caresser, et elle a adoré.
— Et les hommes ?
— Bonne question… En fait, du moins au cours de la dizaine d’expériences que j’ai eues, on ne s’est jamais touchés… Enfin vraiment touché, quoi. Mais j’ai l’impression que c’est une sorte de convention. Les hommes ne se touchent pas… comme s’ils avaient peur de se reconnaître bisexuels… ou de se trouver des penchants gay, comme si c’était une mauvaise chose.
— Toi, tu as peur ?
— Non, pas du tout. Je ne crois pas que ça me gênerait. Quand je vois le plaisir que prend Véro avec une autre femme, c’est tellement beau, que je ne vois pas où peut être le problème d’avoir une relation avec une personne de même sexe. Mais je n’ai jamais essayé.
Nous nous tûmes. L’eau chaude coulait sur ...
... nos épaules, et nous bandions tous deux comme des ânes. Nos deux glands violacés étaient gonflés et luisants. Cette conversation avait fait tomber une barrière en moi. Sans réfléchir, je portai ma main à son sexe. La colonne de chair frémit entre mes doigts. Elle était incroyablement chaude. Je la caressai doucement. Julien se laissa faire. Il se renversa légèrement en arrière et appuya sa nuque sur la vitre de la douche qui coulait toujours à côté de nous. Son sexe vibrait entre mes doigts. J’en flattai la peau douce, faisant rouler les grosses veines sous mes doigts. Puis j’emprisonnai ses bourses dans ma main, les serrant doucement vers l’arrière pour accentuer encore la force de son érection, désormais impressionnante.
J’avais arrêté de penser, guidé uniquement par mon instinct. Si je m’étais regardé à ce moment-là, qu’en aurais-je pensé ? Il n’y avait pas de place pour ce genre de réflexion. Seules comptaient les sensations. La sensation de cette colonne de chair vivante entre mes mains. Cette peau douce et flexible que je faisais aller et venir doucement sur un gland violet, turgescent et baveux. J’en extrayais des gouttes de mouille glissante dont je l’enduisais. Son sexe glissait maintenant sans peine dans mes mains.
Alors cédant à une pulsion incontrôlée, je m’approchai encore de lui, et vint plaquer mon propre sexe contre le sien. Nos deux verges avaient des tailles comparables, la sienne un peu plus large que la mienne, comme je m’en doutais. La sensation de ...