1. Histoires d'un mari cocu, larbin, et heureux (20)


    Datte: 13/03/2020, Catégories: Trash, Auteur: auplaisirdetous, Source: Xstory

    ... quand tu pourras en sortir. Compris ?
    
    — Oui mon amour.
    
    Elle a quitté la pièce et est allée dans la salle de bain. J’ai nettoyé le sperme sur le sol, puis remis le lit en place, et je suis allé nettoyé le gode dans la cuisine. Je me suis rhabillé et j’allais dans le bureau. Je l’ai croisée.
    
    — Qui t’a dit de te rhabiller ?
    
    — Je croyais que...
    
    — Tu croyais mal, allez hop, mets toi nu, et vas dans ton bureau.
    
    Je me suis déshabillé, ai remis mes fringues dans la chambre et suis allé au bureau, j’ai fermé la porte, je me suis assis dans le fauteuil en cuire. J’avais peur que tout cela prenne fin. Je ne pouvais rien faire, je ne maîtrisais évidemment plus rien. Je lui ai envoyé un sms « je t’aime ». Puis, sans réponse, je me suis mis à bosser. Il s’est passé quelques heures. Je l’entendais parfois aller et venir, ses talons qui claquaient sur le parquet. Je l’entendais aussi parler au téléphone, mais sans parvenir à entendre avec qui ou ce qu’elle disait. Un peu avant 16h, j’ai reçu un sms :
    
    — Je t’attends au salon.
    
    Je me suis dépêché de la rejoindre. Elle était assise dans le canapé. Elle portait une micro nuisette en soie et dentelle rouge et noire, ouverte sur le devant, un string assorti en dentelle, des bas noirs et des cuissardes à talons aiguilles. Elle tapotait sur son tel, elle a levé la tête vers moi, et a posé son tel à côté d’elle.
    
    — Approche.
    
    J’allais m’asseoir à côté d’elle.
    
    — Non non, tu avais l’air parfaitement à ta place à mes pieds ...
    ... tout à l’heure.
    
    Je me suis agenouillé à ses pieds.
    
    — Je t’écoute.
    
    — Je t’aime Valentine, je veux qu’on se marie, je veux passer ma vie avec toi.
    
    — Je te comprends.
    
    — Je suis prêt à tout. J’accepte tout.
    
    — On verra ça. Ecoute, je t’aime aussi, enfin je suppose, sur certains aspects. On s’entend bien, et je n’ai pas envie de renoncer à cela, ni au train de vie que tu me permets d’avoir bien sur.
    
    — Oui, bien sûr.
    
    — Donc, je vais te garder.
    
    — Oh, merci, merci mon amour.
    
    — Mais je n’apprécie pas du tout que tu aies fouillé. Tu parlais d’implorer tout à l’heure...
    
    — Oui ma Reine, j’implore ton pardon, vraiment, je me sens nul.
    
    — Tu l’es. Mais on tutoie sa Reine maintenant ?
    
    — J’implore votre pardon ma Reine.
    
    Elle s’est penchée et a pris un sucre dans une coupelle posée sur la table basse. Elle l’a mis au dessus de ma bouche.
    
    — C’est bien, bon petit toutou.
    
    J’ai ouvert la bouche elle a lâché le sucre. Je l’ai laissé fondre dans ma bouche pendant qu’elle continuait.
    
    — Quelques règles : quand on est tous les deux, tu me vouvoies et tu continues à te comporter comme tu le fais là. Sauf si je te dis le contraire, ta place est à genoux à mes pieds. Tu es là pour me servir, obéir et me gâter bien évidemment. Compris ?
    
    — Oui Votre Altesse.
    
    — Je ne te suis redevable de rien. Toi, tu me dois tout.
    
    — Oui Déesse.
    
    — On va commencer par te commander un collier et une laisse et surtout une cage de chasteté, parce que j’en ai assez que ...