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Histoires d'un mari cocu, larbin, et heureux (20)
Datte: 13/03/2020, Catégories: Trash, Auteur: auplaisirdetous, Source: Xstory
... telle lopette et puis... — Et puis quoi ? — J’ai... j’ai... enfin je savais que tu avais oublié ton téléphone ce matin et... — Et ? J’étais honteux, je baissais les yeux. — Et quoi lopette ? Elle durcissait le ton. J’ai craqué. — Et j’ai vu les sms, je sais tout, pour Théo et toi. Elle m’a mis une gifle directement. Elle avait le gode encore en elle. — Ca c’est pour avoir fouillé dans mon portable. — Je te demande pardon. — Ah ben si tu me demandes pardon, tout va bien alors. Elle a posé le regard sur mon sexe raidit. — En tout cas, ça a l’air de te plaire ! — Oui... — Qu’est-ce que tu sais alors ? — Que vous baisez ensemble. — Et c’est ça qui te plait ? — Oui... entre autre. — Entre autre ? Quoi d’autre alors ? J’étais mort de honte. — Si tu veux avoir la moindre chance que je te pardonne, t’as plutôt intérêt à cracher le morceau et vite. Elle me trompait, et pourtant c’est moi qui me faisais engueulé et devais m’excuser; et je trouvais cela normal. J’avais trahi sa confiance en fouillant dans son tel. — J’attends, mais ma patience a des limites. — Le fait que vous baisiez ensemble, ça m’excite. — Oui ça tu l’as déjà dit ! — Et... Elle a retiré le gode, me l’a lancé à la figure et s’est levée en me repoussant — Bon allez, ça suffit, j’en ai marre de toi. Je me suis jeté à ses pieds. Elle était debout, impériale et moi à genoux, les bras enroulés autour de ses chevilles. — Tu fais quoi ...
... là ? — Pardonne moi Valentine, j’implore ton pardon. — Tu implores, carrément ? — Oui. — Oui qui ? — Oui... mon amour. — Non, les « mon amour », ça ne suffit plus. — Oui Princesse adorée. — Ah ah, c’est mieux. Mais j’attends toujours. A ses pieds, je me suis lancé : — Le fait que vous l’ayez fait ici, en ma présence, que vous vous foutiez de moi, que vous vous moquiez de moi aussi, et puis... — Et puis ? — J’adore le fait qu’il ait... — Qu’il ait ? — Un gros sexe. Et je me suis joui dessus en disant cela, à ses pieds, nu, accroché à ses bottines. Elle l’a vu, me regardait de haut, dans tous les sens du terme. — Et ben dis donc, en effet, ça a l’air de te plaire. — Oui Déesse. — Et donc ? Que veux tu ? — Te dire que je t’aime, et que c’est bon, tu peux, je veux dire, tu peux continuer à le voir, c’est normal. — Qu’est-ce qui est normal ? — Que tu couches avec lui. — Et pourquoi est-ce normal à ton avis ? — Parce que je ne peux pas te rendre heureuse sur cet aspect là. — Pourquoi pas ? — A cause de mon petit zizi. — C’est tout ? — Et que je suis précoce. — Et donc ? Tu vois les choses comment ? — Je t’aime. Je suis amoureux de toi, je suis prêt à tout, je veux rester avec toi, me marier avec toi, comme on l’a prévu. — Ah... Nous sommes restés là quelques longues secondes qui m’ont paru des heures. — J’ai besoin de réfléchir là. Nettoie ce bordel, et vas dans ton bureau, je te dirai ...