Merci à la Collection Aphrodite !
Datte: 12/03/2020,
Catégories:
fh,
Auteur: Bernard, Source: Revebebe
... caresses. Elle est déçue, moi aussi. Elle veut récupérer sa petite culotte.
— Fais-moi plaisir : reste sans.
Elle me regarde malicieusement et la remet en place. Décidément, c’est vraiment une matinée particulière !
Comme prévu, il y a un monde fou : difficile de trouver une place sur le parking. Je passe le long d’une haie de thuyas où il y a une dizaine de places occupées. Coup de chance, une voiture part. Vite fait, marche arrière et nous voilà garés.
Nous prenons un caddy. Je regarde ma femme qui déambule devant moi ; de la savoir toute nue dessous me met dans un état second. Sa démarche est gracieuse, mon short est tendu ; heureusement que le caddy me protège de mon émoi ! Caroline s’en aperçoit, ne fait rien pour me calmer : bien au contraire, elle profite qu’il n’y ait personne dans un rayon pour faire semblant de chercher un article tout en bas, sans plier les jambes ; j’ai une vue plongeante sur ses fesses toutes blanches, un supplice, mais un vrai bonheur… Je découvre une Caroline que je ne connaissais pas.
J’avais besoin d’un nouveau maillot de bain. Me voilà dans la cabine, je retire mon short et mon slip pour l’essayer ; je sens une main qui me caresse les fesses : ma femme a passé son bras à travers le rideau. Je me retourne, et elle prend ma verge en main, me caresse, me masturbe, masse mes bourses et disparaît. Décidément, je vais de surprise en surprise !
Nous voilà de retour sur le parking ; à côté de notre voiture, une camionnette est ...
... garée. Collés à la haie, nous rangeons les courses. Chaque fois que Caroline dépose les sacs au fond du coffre, je vois son petit cul blanc apparaître ; et là, je n’en peux plus : je me colle à elle.
— Tu es fou ! Arrête, on pourrait nous voir.
— Non, regarde : on est protégé de partout.
Je lui remonte son tee-shirt au milieu du dos et j’abaisse mon short et mon slip ; elle n’essaie même pas de protester : elle a autant envie que moi. Au contraire, elle se cale bien les mains dans le coffre, les fesses bien en arrière, les cuisses écartées, formidablement impudique. Mes vêtements me gênent : ils se retrouvent vite fait sur le bitume. Sa petite chatte est trempée ; mon sexe hyper tendu la pénètre sans difficulté, je vais et je viens, j’en profite pour passer mes mains devant et lui caresser les tétons de ses seins. Heureusement que le bruit qui nous entoure couvre les gémissements de Caroline et les claquements de ses fesses contre mon pubis. C’est un peu bestial, certes, mais la situation l’exige : il faut que ça soit bref, mais hyper intense ; et croyez moi, c’est le cas ! Elle se tourne vers moi, le visage défiguré par la jouissance, les larmes aux yeux ; je jouis abondamment en elle puis on reste là, inertes, épuisés mais heureux. Je lui prends le visage, l’embrasse ; nos langues se mélangent, mais on prend vite conscience en riant qu’il est temps de se rhabiller : nous sommes complètement indécents.
Sur le chemin du retour, je propose à Caroline de nous arrêter pour ...