Merci à la Collection Aphrodite !
Datte: 12/03/2020,
Catégories:
fh,
Auteur: Bernard, Source: Revebebe
Il fait un temps magnifique en ce mois d’août 1977, près de Rodez, dans l’Aveyron. Je regarde tendrement Caroline ; cela fait deux ans que je l’ai épousée. C’est une jolie femme fine, brune, d’un mètre soixante-dix, avec une petite poitrine très ferme et des yeux bleus très clairs que le bronzage met encore plus en valeur. Elle attire le regard des hommes ; j’avoue que j’en suis jaloux, mais je ne peux pas leur reprocher d’avoir bon goût.
Par contre, en ce qui concerne notre vie amoureuse, c’est un peu plus compliqué. Une éducation plutôt stricte, probablement où la sexualité était un sujet tabou ; elle m’a offert sa virginité après de longs mois de fréquentation. Nos ébats ont toujours été plutôt classiques : elle a toujours refusé les petites fantaisies, à mon grand regret d’ailleurs. Mais aujourd’hui, je suis plutôt surpris : elle m’a emprunté un bouquin. Je suis lecteur de la CollectionAphrodite ; c’est particulier car ce sont des romans érotiques.
Je l’observe discrètement ; je la sens perturbée. Elle est assise dans une chaise longue, croisant et décroisant ses jambes. Elle est seulement vêtue d’un long tee-shirt avec une rose en motif qui lui arrive à mi-cuisses. Elle s’en sert surtout comme robe de plage, et je sais qu’en dessous elle ne porte qu’une petite culotte ; d’ailleurs, j’en vois la blancheur chaque fois qu’elle fait un mouvement de jambes. Ses petits seins ne sont pas entravés par un soutien-gorge. Je la sens nerveuse : visiblement, elle est ...
... passionnée par le roman. Je lui signale qu’il est grand temps d’aller faire des courses, sinon il va y avoir trop de monde. Elle semble agacée par ma demande, elle a du mal à se détacher de sa lecture ; à contrecœur, elle marque sa page et se lève.
Nous voilà dans la voiture, nous roulons tranquillement, elle n’a pas voulu se changer avant de partir. Je lui fais remarquer que le roman ne la laisse pas indifférente ; tout en le lui disant, je pose une main sur sa cuisse et la caresse doucement.
— C’est la première fois que je lis un livre comme ça : c’est très troublant…
Je continue à la caresser en remontant sur le haut de la cuisse. À ce moment-là, je suis persuadé qu’elle va me repousser ; au contraire, elle écarte légèrement les jambes : elle est très réceptive à mes caresses, c’est incroyable ! Je me sens de plus en plus à l’étroit dans mon short… Mes doigts ont atteint la lisière de sa petite culotte ; je passe un doigt par l’entrejambe. Comme le sous-vêtement me gêne, je lui demande de la retirer. Elle va m’envoyer paître ! Je reste sans voix ; elle n’hésite pas une seconde : elle l’enlève et la range dans la boîte à gants. Je réduis ma vitesse de plus en plus ; elle s’enfonce bien dans le fauteuil et écarte impudiquement les cuisses. Je crois rêver… Je lui caresse son minou, ses lèvres, la pénètre d’un doigt puis de deux tout en jouant avec son clitoris ; elle ferme les yeux et gémit sans retenue. Hélas, nous approchons de l’agglomération et nous devons arrêter les ...