Douce belle-maman - Histoires de Sexe

Douce belle-maman

... par mon épouse :

« Je t’aime »

Tout simplement, sans fioriture, l’acception de nos conditions respectives est condensée dans ces mots. Je suis ému, touché par sa sincérité.

Pour les vacances d’avril, nous louons un appartement au bord de l’eau, à Frontignan pas loin de Montpellier. Bien entendu, nos nouvelles relations nous obligent à inviter les beaux-parents. Huguette n’y voit pas d’inconvénient, beau-papa ne pourra pas se libérer et ne viendra donc que quelques jours. Cela ne nous gène pas le moins du monde, c’est pour Jules que nous sommes déçus, il adore son papy.

Nous arrivons le vendredi soir avec ma femme et notre garçonnet. Belle-maman et son cher époux n’arriveront que le lendemain matin. Dans le lit, Marine se love contre moi et me parle d’une voix tendre :

— Mon amour, j’ai trouvé mon amant.
— Ah bon ? dis-je étonné et jaloux à la fois.
— Il est parfait : adorable, beau, gentil mais par contre, bien plus jeune que moi(rire étouffé), ça change de toi qui les aime plus… mûres.
— Hummm…
— Ne fais pas la tête mon grand. C’est comme ça, on ne peut revenir en arrière, nous avons tous pris nos responsabilités.

La pause bisou après cette phrase a failli être plus longue que prévue tant j’ai enserré ma femme pour lui faire l’amour.

— Doucement, laisse-moi finir. Je l’ai rencontré il y a une quinzaine de jours, par hasard, lorsque j’ai posé mon mercredi et que je suis allée faire le marché. Il m’a abordé, on a papoté, puis on est allé boire un ...

... verre. C’était très bien. Puis on s’est appelé quelques fois et, lundi soir, je ne suis pas allée à la gym.
— Ah ?
— Eh non mon chéri, je suis allée le rejoindre chez lui, dans son studio. Tu veux que je te raconte ce que nous avons fait ?
— Je me doute un peu.
—(sourire) Coquin, tu as envie de savoir ! Eh bien, nous nous sommes embrassés tout de suite comme si nous attendions ça depuis des années. Rapidement je fus nue, il n’a même pas fait cas des sous-vêtements que j’avais mis exprès ce soir-là, et il m’a mangée. C’était grandiose, il s’est occupé de moi quasiment tout le temps, j’ai eu plusieurs orgasmes, violents. Puis je l’ai pris dans la bouche mais comme il était un peu à bout, je lui ai mis une capote et il m’a chevauchée pendant que j’étais accoudée sur sa table. C’était assez bestial, génial !
— Ça a l’air, à voir l’entrain que tu mets à décrire.
— Oui, je ne vais pas te mentir. Tu devrais être content pour moi, mon grand.
—(sourire crispé) Je le suis, j’étais préparé à ce que tu me l’apprennes un jour. Laisse-moi un peu de temps.
— Prends le temps qu’il faudra, dit-elle toute joyeuse en faisant voler le drap et en se positionnant à quatre pattes entre mes jambes.

La croupe en l’air, bien cambrée, Madame donne de la vigueur au bambou mollasson qui me sert de sexe. Pendant qu’elle me suce en me regardant droit dans les yeux, je l’imagine léchant un autre membre. Cela ne m’écœure pas, ne me gène pas, je suis tout simplement content. Je prends sa tête à deux ...