1. Douce belle-maman


    Datte: 12/03/2020, Catégories: ffh, fplusag, extracon, alliance, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, hgode, confession, couple+f, bellemere, Auteur: Ducfranck, Source: Revebebe

    ... gloutonnerie.
    
    Pas de coït ce soir-là, nous restons un long moment pour nous embrasser et nous caresser. Une nouvelle gâterie tête-bêche et nous remontons dans nos chambres respectives. Je la laisse dans la salle d’eau et me dirige vers le cabinet de toilettes.
    
    Je n’ai pas le temps d’atteindre la porte, Marine surgit de notre chambre, complètement nue et me tire vers le lit.
    
    — Viens me donner du plaisir mon cochon, me dit-elle survoltée.
    
    Jamais je ne l’avais vue dans cet état, elle m’embrasse, me déshabille, me complimente, me dit des choses coquines. Ma femme est totalement transformée. Je suis sur le dos, elle dessus et elle danse sur mon mat en me parlant entre deux soupirs de contentement.
    
    Elle me dit qu’elle aime que je la trompe, que ça l’excite de me savoir avec sa mère, de savoir que nous avons fait des bêtises dans le salon, qu’elle aime les effluves de nos ébats sur mes lèvres et ma queue (ce sont ses termes), de sentir le parfum de sa mère sur ma peau, etc. En bref, elle me fait le bilan de ce qu’elle aime dans ma relation extraconjugale.
    
    Son rythme est plus souple, ses fesses ondulent sur mon pubis, droit dans les yeux elle m’avoue que nos confessions de la soirée lui ont donné envie d’être initiée aux jeux charnels que nous pratiquons :
    
    — Je t’aime mon amour, et j’espère que tu comprendras ma dernière requête…
    
    Marine accélère ses mouvements de rotation combinés aux va-et-vient et lorsque l’orgasme nous submerge, elle susurre à mon oreille ...
    ... :
    
    — Je vais prendre un amant. Bonne nuit chéri.
    
    Madame s’allonge près de moi une main sur ma poitrine et s’endort comme à l’habitude, très rapidement, me laissant cogiter sur cette nouvelle information. Je ne suis ni surpris, ni en colère, juste troublé par cette demande. J’arrive même à comprendre son raisonnement. Savoir qu’elle va, elle aussi, vivre des choses incroyables avec une autre personne, m’excite. Je ne pensais jamais avoir le ressenti de ceux que l’on appelle les cocus-contents. J’ai un pincement au cœur en me disant qu’un jour elle viendra et qu’elle m’avouera être passée à l’acte mais cela me convient.
    
    À six heures du matin, je lui écris une courte missive pour lui dire que je suis d’accord avec son souhait. Je lui demande de ne pas en parler à sa mère, ce sera moi qui serais l’intermédiaire, je veux tout savoir de sa future relation pour pouvoir à mon tour la raconter à Huguette. Je ne sais pas pourquoi j’ai tant envie d’être masochiste de la sorte, une envie, un besoin. Ma deuxième demande est plus simple : je ne veux pas connaître le nom de la ou les personnes qu’elle rencontrera.
    
    Je m’endors heureux, la tête légère, soulagé de la tournure des évènements.
    
    Le lendemain je me réveille seul, pas un bruit dans l’appart. Tout le monde est déjà sur les pistes. J’arrive dans la cuisine, la table est mise pour mon petit déjeuner. Je décachète l’enveloppe apposée sur le verre de jus de fruit, il n’y a qu’une feuille pliée avec quelques mots manuscrits ...
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