Astrid et Julia (16)
Datte: 12/03/2020,
Catégories:
Trash,
Auteur: imaxparis, Source: Xstory
... fille sur le canapé proche et se met en position de « soixante-neuf » au-dessus d’elle. Elles vont se faire du bien comme ça jusqu’au moment où la voix de maître Hubert les stoppe impérativement :
— Ça suffit. Vous ne devez pas jouir ! Il est temps de nous rendre au donjon.
Il appuie sur un bouton et le majordome apparaît. Il entraîne les femmes dans un couloir sombre et nous le suivons. Sur le chemin, nous passons devant des cellules aux portes de verre dans lesquelles sont enfermées des femmes entièrement nues. Maître Hubert commente :
— Ce sont des femmes en formation de soumise. Elles débutent. Leurs compagnons ne savaient pas comment les dresser. Ils me les ont confiées. Vous avez pu voir au passage une animatrice de télé qui commence un peu à être célèbre. C’est une bonne recrue, prête à tout pour réussir. Elle est d’une perversité sans égal. Elle est fouettée régulièrement deux fois par jour. Elle aime ça, car elle en redemande. La plupart restent là un mois, c’est le minimum pour en faire des accros au sexe. Une fois sorties d’ici, elles ne pourront plus s’en passer.
Le donjon dans lequel nous arrivons est très bien équipé. Deux grands noirs, nus, de plus de deux mètres, aux muscles noueux, attendent dans la salle. A notre arrivée, ils se saisissent d’Astrid et Julia et, en deux temps trois mouvements, les fixent chacune par les poignets à un jeu de poulies fixées au plafond. Ils appuient sur une commande et les voilà qu’elles se retrouvent étirées, bras ...
... en l’air, les pieds touchant à peine le sol. Sur un signe de maître Hubert, ils commencent à les fouetter méthodiquement en les faisant tourner. Ce ne sont alors que des cris, des pleurs, mais ni l’une, ni l’autre ne demande d’arrêter. Aucune partie de leur corps n’est épargnée. Leurs chattes et leurs seins sont les plus visés. C’est Julia qui déguste le plus, car les anneaux étirent ses chairs quand le fouet vient à les saisir. Au bout de quelques minutes de ce traitement, leur corps n’est plus que plaies, certes superficielles, mais spectaculaires.
Je m’approche d’elles, je les embrasse doucement sur les lèvres et je leur dis :
— Merci, mes chéries, de vouloir accepter de souffrir par amour pour moi. Ce n’est pas fini, vous devrez encore accepter beaucoup de choses encore plus dures. Etes-vous prêtes à continuer ?
— Oui, me répondent-elles en me lançant un regard amoureux.
Les deux noirs les détachent et leur demandent de les masturber. En quelques secondes, leurs bites molles deviennent de vraies matraques, énormes, monstrueuses. Leurs petites menottes ne peuvent pas se refermer sur elles. Elles doivent ensuite les sucer et elles grossissent encore ! Incroyable !
L’un des noirs prend alors Julia dans un de ses bras, la soulève, ajuste de l’autre son sexe sur sa foufounette et commence à l’emmancher. Elle pousse un cri terrible tellement l’intromission est difficile. Ses chairs sont étirées par l’épaisseur du gland qui peine à se faire un chemin. Il l’embrasse ...