1. Astrid et Julia (16)


    Datte: 12/03/2020, Catégories: Trash, Auteur: imaxparis, Source: Xstory

    Plus d’un mois s’est écoulé, les piercings de Julia ont bien cicatrisé et le Barbell qui traverse le capuchon de son clitoris l’excite en permanence. Je peux désormais jouer avec les anneaux qui pendent de ses seins ou de ses grandes lèvres. Je ne manque pas d’en abuser en pratiquant des étirements qui la font grimacer. Elle se rattrape désormais de la période d’abstinence vaginale en s’empalant bien à fond sur ma queue lors de nos ébats.
    
    Avec sa mère, elles rivalisent d’ingéniosité pour me faire plaisir. C’est à qui sera la plus perverse. Astrid a fait découvrir à sa fille le gode cheval vibrant énorme de 35 centimètres par 6,6 centimètres que je lui avais enfilé dans sa chatte il y a quelque temps. Depuis, toutes les deux le prennent facilement dans le cul.
    
    Elles se fistent mutuellement devant moi et il est courant qu’elles mettent les deux mains dans le vagin de l’autre. Elles deviennent très expérimentées dans les pénétrations monstrueuses. Heureusement que la foufoune et le cul d’une femme sont élastiques sinon, malgré la taille respectable de mon sexe, je ne sentirais plus rien après de telles invasions.
    
    Le jour de la séance avec maître Hubert est arrivé. Nous avons rendez-vous chez lui dans un manoir des Yvelines à vingt et une heures.
    
    Pour la circonstance, mes belles, sur mes conseils, se maquillent légèrement les yeux et mettent juste une touche de rouge à lèvres. Leurs cheveux, tirés en queue-de-cheval, leur dégagent bien le visage, mettant en valeur la ...
    ... beauté de celui-ci. Elles portent chacune la même robe courte bleue au décolleté plongeant, sans manches. Une fermeture « éclair » tout le long du dos permettra de dégager rapidement leur corps nu à la vue de tous. Des escarpins Louboutin à talons très hauts complètent leur tenue.
    
    Il n’est évidemment pas question qu’elles portent des sous-vêtements.
    
    Je leur demande de soigner leur toilette intime en se faisant un lavement profond et surtout de préparer leur anus avec un lubrifiant désensibilisant au silicone.
    
    Quand je les vois sortir de la salle de bains, je reste scotché, tellement leur beauté est éclatante. On dirait deux sœurs jumelles. Ça me fait tellement d’effet que j’ai du mal à contenir mon sexe en érection dans mon pantalon. Elles s’en aperçoivent et éclatent de rire en me voyant dans cet état.
    
    Ça détend l’atmosphère, car je les sentais un peu crispées.
    
    Dès notre arrivée, nous sommes accueillis par un majordome qui nous mène au salon. Maître Hubert nous reçoit en ces termes :
    
    — Bonjour Hervé. (Il semble ignorer mes femmes) Voilà vos compagnes dont vous m’avez fait l’éloge. Elles sont plus belles que ce que montrent les photos. Difficile de faire la différence entre la mère et la fille, hormis, d’après ce que je vois, des seins légèrement tombants pour Astrid. C’est bien son prénom ?
    
    — Oui, acquiescé-je et Julia pour la fille.
    
    — Ah oui Julia, plus de dix-huit ans et déjà perverse et Astrid quarante-cinq ans une vraie salope d’après ce que vous ...
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