1. La vie dissolue d'une bigote 2 Ma belle-mère se donne à moi


    Datte: 12/03/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... lorsqu’elle me suce, elle n’est pas gênée par les poils et qu’elle trouve cela très agréable. Elle en convient. Je lui promets des superbes séances de léchage. Que j’ai très envie de manger et sucer son clito que je sens bien gros, comme ses tétons. Elle accepte finalement encore réticente, elle a maintenant compris que mes « idées folles » sont sources de jouissance par la suite.
    
    Je l’emmène à la cuisine, toujours nue, prenant au passage, ciseaux, rasoir, gel, serviette et crème adoucissante. Je la couche sur la table, un coussin sous la tête un autre sous les reins, les jambes écartées et pendantes au bord. Geneviève est gênée d’être ainsi exposée, étalée nue sur la table de sa cuisine. Je la rassure du mieux que je peux, mais je la sens fébrile.
    
    « C’est la première fois que quelqu’un me regarde… là…à part mon gynécologue.
    
    Je te trouve très belle et très bandante. Si je n’avais pas un travail à faire, je te baiserais tout de suite. Mais dis donc, tu mouilles autant que cela devant ton médecin ? Il doit se régaler !
    
    Oh non ! Je ne suis jamais nue complètement devant lui. Lorsqu’il m’ausculte… là. Je garde le haut et puis, il n’est pas nu et … tendu comme vous ! Venez ! Prenez-moi ! J’ai envie !
    
    Je reconnais bien la salope qui est en toi. D’abord, au travail, il me tarde de goûter à ta belle moule une fois qu'elle sera dégagée de ces poils. »
    
    Avec les ciseaux, je fais tomber rapidement de belles touffes de poils châtains. Quelques poils blancs trahissent ...
    ... l’âge de ma belle-mère. Sa quarantaine bien entamée pourtant, fait aussi l’attrait que j’ai pour elle. Geneviève est une belle femme mature, plantureuse sans être grosse. Si elle savait s’habiller elle paraîtrait vite dix ans de moins et ferait bander bien des hommes et peut-être le sien. Fort heureusement pour moi, je suis le seul à la voir nue et à me rendre compte du gâchis que représente son état de femme délaissée.
    
    Par pudeur, elle a mis son bras sur ses yeux. Son aisselle est poilue. Je lui demande d’ailleurs de mettre ses deux bras sur ses yeux. Là aussi je passe les ciseaux. Je lui dis que cette fois-ci je le fais au rasoir, mais qu'il vaudra mieux utiliser une crème dépilatoire pour éviter les désagréments de la repousse de poils durs. Ces séances, nous le recommencerons régulièrement pour notre plus grand plaisir, car bien sûr elles finissent toujours par un léchage et un coït. Ce seront même des séances réciproques car ma belle-mère adorera s'occuper elle aussi de « cette chose qui me rend heureuse » sans oublier mes fesses. C'est d'ailleurs une chose qui me manquera pendant mon mariage car sa fille refusera toujours de s'en occuper. Plus tard, Geneviève optera pour une épilation définitive au laser, mais c'est une autre histoire.
    
    Phase plus délicate maintenant. J’étale le gel sur ce qui reste de sa toison pubienne, sans oublier son entre-fesse. Elle réagit bien un peu, mais n’ose pas s’opposer à mon geste. La lame du rasoir, fait vite disparaître les poils sur ...
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