1. La vie dissolue d'une bigote 2 Ma belle-mère se donne à moi


    Datte: 12/03/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    Le lendemain soir, alors que je n’ai pas vu Geneviève de la journée, ma copine annonce alors que nous sommes à table, qu’elle part en stage trois jours la semaine suivante. Elle partira le lundi soir avec ses collègues, directement depuis son travail, pour ne rentrer que le vendredi, le jeudi soir étant prévu une soirée pour fêter la fin du stage. Geneviève me regarde, l’œil brillant, pensant comme moi que nous serons seuls, pendant quatre nuits, tous les deux. « La salope » me dis-je.
    
    Lundi midi. Geneviève est nerveuse à table. Sa fille pense que c’est parce qu’elle part et la rassure. Pour ma part, je me doute que c’est autre chose qui la tracasse, en effet, cela fait bientôt quatre jours que rien ne s’est passé entre-nous car les autres enfants sont venus passer le week-end. Je suis bien monté boire la nuit, en prenant soin toutefois de passer un caleçon, vu la présence des autres. Bien m’en a pris d’ailleurs, car je suis tombé sur ma belle-sœur, qui n’a pas manqué de me provoquer en se collant à moi.
    
    « Elle baise bien ma sœur ? Je vous ai entendus tout à l’heure !
    
    Oui, pas mal.
    
    Mieux que moi ?
    
    Je ne sais pas, je ne me rappelle plus.
    
    Salaud !
    
    Je t’ai déjà dis que nous, c’est du passé. Maintenant, je suis avec elle, point.
    
    Je ne te crois pas ! Tu es un « pineur » et ça m’étonnerais que tu n’ailles pas voir ailleurs. Avec moi tu ne te gênais pas.
    
    Toi non plus je te rappelle. Allez, au lit, on va réveiller tout le monde. »
    
    Elle en convient et ...
    ... retourne dans sa chambre. Au moment de sortir, elle se retourne, soulève le large tee shirt qui lui sert de pyjama, pour me montrer son bas ventre et ses seins, me fait un clin d’œil en disant « Tu vois ce que tu rates ? ». Sacré famille tout de même, pensais-je.
    
    Le nuit suivante, quasi même scénario, mais avec la mère cette fois. Au moment où je redescends, je la découvre devant la porte de sa chambre. Elle ouvre son peignoir sous lequel elle est nue et me lance un baiser du bout des lèvres en souriant et referme la porte. Elle m’expliquera plus tard lorsque nous serons seuls :
    
    - « Je vous avais entendu le premier soir, mais au moment de sortir, la porte de ma fille s’est ouverte. Elle n’a pas vu la mienne entrebâillée. J’ai eu juste le temps de la fermer discrètement. Je vous ai écoutés parler. Au début, j’étais choquée en découvrant que vous aviez aussi couché avec elle. J’étais en colère, car elle n’avait pas quinze ans à l’époque.
    
    - A peine treize, la première fois qu’elle m’a sucé. Je te rappelle qu’elle était précoce et je n’étais ni le premier, ni le seul à la sauter et même à plusieurs en même temps !
    
    - Oooh !
    
    . Mais tu as raison, c’est d’ailleurs en partie pour cela que j’ai rompu.
    
    Je me suis reprise en vous entendant la repousser. J’ai vu aussi quand elle vous a montré son corps. C’est pour cela que le lendemain, j’ai fais pareil.
    
    - Et si j’avais répondu à ses avances ?
    
    - Je ne sais pas ce que j’aurais fait. Sûrement, je serais venue vous ...
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