La vie dissolue d'une bigote 2 Ma belle-mère se donne à moi
Datte: 12/03/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Yan Loutort, Source: Hds
... que mon histoire t’as plu !»
Pendant notre discussion en effet, Geneviève a pris ma queue négligemment et la caresse, ce qui ne manque pas de produire l’effet escompté.
« J’ai encore envie ! glisse-t-elle
Salope ! Ne te gêne pas ! Tu es gentille finalement sous tes dehors antipathiques.
Je… ne sais pas pourquoi, mais depuis … j’y pense tout le temps
Depuis quand ?
Vous savez bien. Depuis, que …
Nous baisons ensemble ?
O… Oui c’est Ça !
N’hésite pas ! Dis-le ! Parle avec des mots crus, c’est plus excitant, surtout quand c’est toi qui les dis
Pourquoi moi ?
Parce tu es la femme « bien comme il faut », noble et qui va à la messe tous les dimanches et que personne ne soupçonnerait d’être une sacré salope.
C’est comme cela que vous me voyez ?
Tu sais que pour moi, c’est un compliment de te traiter de salope. Et encore, je pense que tu as encore des choses à découvrir pour le devenir complètement.
Une salope, c’est une femme qui assume, qui donne et se donne du plaisir. Dis-moi, tu te branles ?
N… Non, jamais voyons !
Tu y viendras ! Tu te fais enculer ?
Vous n’y pensez pas ? C’est sale ! C’est interdit ! Ça fait mal !
Tu y viendras ! Si on t’avait dit il y a huit jours que tu baiserais avec ton gendre, que tu le sucerais, tu l’aurais cru ?
C’est vrai, vous me faites faire des horreurs !
Ce ne sont pas des horreurs, c’est du sexe et tu aimes ça !
… Oui , c’est vrai, mais…!
Tu sais que ton gros cul et tes gros seins ...
... m’ont toujours fait fantasmer ? Mais je te voyais comme l’inaccessible mère de ma copine, cul serré et grenouille de bénitier. Comme les autres je ne soupçonnais pas ta vraie nature de salope. En plus je ne connaissais pas encore tes tétons. Ils sont vraiment énormes et attirent les mains et la bouche ! En plus ils sont hyper sensibles. Je m’étonne que ton mari ne s’en soit pas occupé.
Il n’y a jamais pensé. Mais…Vous… Vous… pensiez à moi ?
Je bandais pour toi parfois, oui !
Je… Moi aussi…Je pensais… à vous !
C’est pas vrai ! Et depuis quand ?
Pardonnez-moi, mais depuis que… je vous voyais la nuit… à la cuisine
Parce que ce n’était pas la première fois l’autre nuit ?
Mon dieu, non ! Je vous observe depuis plus d'un mois, cachée dans le couloir. La première fois, c’était par hasard. Vous êtes arrivé alors que j’allais moi-même à la cuisine. J’ai eu juste le temps de me cacher, je ne sais pas pourquoi j’ai fais cela. Alors, quand je vous ai vu tout nu. Ça m’a fait des choses.
Tu mouillais ? Ça picotais dans ta chatte ?
O… Oui ! C’était la première fois depuis… longtemps.
Et après ?
Les nuits suivantes, je guettais le bruit et quand vous montiez, je me cachais pour regarder.
Eh bien dis-donc ! Tu es une drôle de coquine !
C’est votre faute aussi ! Pourquoi vous vous promenez tout nu ?
J’aime ça. Tu aurais pu peut-être rester dans ta chambre au lieu de venir me mater, non ?
C’est que…c'était plus fort que moi. J’étais obsédée, je ne ...