1. La vie dissolue d'une bigote 2 Ma belle-mère se donne à moi


    Datte: 12/03/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... dans la chambre de Geneviève me rendant compte que c’est la première fois que j’en franchi le seuil. La lampe de chevet éclaire doucement la pièce. Sur le lit, ma belle-mère m’attend, étendue sur le côté, la tête posée sur un bras, une jambe repliée. Elle a revêtu des bas couleur chair, tenus par un porte-jarretelles de même couleur et un soutien gorge mettant en valeur sa lourde poitrine. Elle est aussi maquillée et me regarde avec un léger sourire malgré tout crispé.
    
    « Tu es superbe, lui dis-je
    
    Merci ! Mais j’attends depuis longtemps.
    
    Je vais te raconter, mais avant, j’ai très envie de toi. »
    
    J’ouvre mon peignoir, lui présentant une belle érection. Je m’approche et connaissant maintenant son goût pour la fellation, lui présente mon membre à sucer, ce dont elle s’acquitte avec empressement. D'une main, je branle son gros clitoris et j'introduis deux doigts dans sa chatte déjà dégoulinante. Geneviève est vraiment en manque car elle est particulièrement vorace. Je suis obligé de l’arrêter. Je la retourne et face à ce cul somptueux mis en valeur par la lingerie coquine, je la baise pour la première fois dans son lit conjugal. La vision de ma belle-mère à genoux, revêtue de dessous sexy faisant ressortir son gros cul blanc face à moi est particulièrement bandante. J’empoigne ses hanches la traitant de salope, de pute, de garage à bite ! Lui disant que son cul est un appel au viol. Que je vais l’empaler jusqu’à la gorge… Je ne sais si la situation l’excite comme à ...
    ... moi, mais elle se lâche complètement, elle transpire, crie, vocifère, s’agite et … inonde le lit. Je ne tarde pas à la rejoindre, titillant au passage son œillet brun d’un doigt, sans qu’elle rechigne, mais dans l’état où elle est, elle ne se rend compte de rien.
    
    Nous nous écroulons sur le lit, restant enlacés après ce moment intense. Son maquillage est un peu malmené et des cernes ont creusé le dessous de ses yeux. Nous sombrons dans un sommeil réparateur. Lorsque je me réveille, Geneviève est toujours endormie dans mes bras et ronfle doucement. Petit à petit, par de brefs mouvements, je la réveille.
    
    Elle me sourit et, m’embrasse à pleine bouche. Elle semble heureuse.
    
    « Merci ! Vous m’avez tuée ! Que c’est bon de faire l’amour avec vous ! Vous avez aimé ma tenue à ce que je vois petit vicieux !
    
    Je crois que tu as beaucoup aimé te faire baiser dans le lit conjugal ma salope de belle-mère.
    
    Oh oui ! Je ne pensais pas vous… exciter autant… à mon âge !
    
    Je t’ai déjà dis que tu es bandante à poil, alors avec tes trucs de pute, je vais te violer chaque fois que tu les mets. Tu sais ce qu’il te reste à faire quand tu veux te faire baiser.
    
    C’est vrai que vous n’y êtes pas habitué avec les femmes de votre âge. Pourtant, je croyais que ma fille en mettait. Elle m’a demandé un jour de l’aider parce que vous lui aviez demandé.
    
    Elle n’a pas aimé et a arrêté très vite. C’est trop compliqué pour elle. Si elle savait !
    
    En plus, je lui avais acheté un ensemble noir. ...
«1234...16»