1. La vie dissolue d'une bigote 2 Ma belle-mère se donne à moi


    Datte: 12/03/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... régale de son suc odorant qui me barbouille le visage. Elle se tortille sur la table, agrippe mes cheveux pour tour à tour, repousser ou écraser ma tête sur le centre de son plaisir.
    
    Tout à coup, surprise ! Elle prend son pied en rafale ! J’ai face à moi pour la première fois le superbe spectacle d’une femme fontaine. Geneviève « éjacule » carrément. Sa mouille gicle haut, fort et abondamment ! J’en avale une bonne partie dans ma bouche, mais le reste s’étale sur mon visage, le haut de mon corps ou sur le carrelage. Bien sûr, elle en reçoit sur elle. La quantité est impressionnante !
    
    Voyant tout de même qu’elle fatigue, je me relève, non sans entendre un léger soupir de regret. La preuve que ma salope de belle-mère aurait bien subit la séance un peu plus longtemps. Je me couche d'abord sur elle et l’embrasse sur la bouche pour lui faire partager ses effluves odorants. Collés l'un à l'autre, on s'imprègne de sa mouille. Geneviève a un petit recul quand mes lèvres se posent sur les siennes, mais très vite elle accepte l’offrande de ses fluides intimes.
    
    Je me relève, j’empoigne ses jambes et debout entre ses cuisses largement écartées, j’enfonce ma bite bien raide dans la chatte brûlante de ma belle-mère. Geneviève a fabriqué tellement de cyprine que mon mandrin clapote dans son vagin. Malgré ses quatre accouchements, sa chatte reste étroite et serrée.
    
    Tout en la baisant je masse son gros clito d’un doigt. L'excroissance est maintenant bien visible et c'est un ...
    ... régal. Je me demande alors si toutes les femmes qui ont des gros tétons, ont aussi un gros clito. Cela ouvre des perspectives intéressantes pour l'avenir ! J'y ferai désormais attention. Le sien en tout cas est un véritable interrupteur. Il suffit que je le titille deux secondes et Geneviève se tord de plaisir. Sa cyprine coule abondamment, inondant le bas de mon corps et le carrelage de la cuisine. Elle hurle, à tel point que je dois la bâillonner d'une main, pour ne pas qu’elle alerte les voisins.
    
    Je gicle enfin dans son vagin et continue de la baiser, la faisant redescendre doucement de son nuage. Elle reste étalée, avachie sur la table. Obscène dans sa position bras et jambes écartés. Sa poitrine se soulève à la recherche d’air. Son corps laiteux est couvert de transpiration et de sa mouille, mais elle ne songe pas à bouger. Anéantie par le plaisir.
    
    Je la laisse récupérer tout en admirant son corps étalé. Je suis encore surpris de la baiser et de sa participation. Si je racontais que Geneviève de Brassac aime se faire baiser sur la table de sa cuisine de s’exposer nue. Pire, épilée ! Je n’en reviens toujours pas non plus de baiser celle qui est ma presque belle-mère. Femme si prude mais tellement plus chaude que sa fille !
    
    Enfin, après de longues minutes de récupération, elle ouvre les yeux. Puis se rend compte enfin de sa position obscène.
    
    « Mon dieu ! C’est fou ! Jamais je n’avais … comme cela !
    
    Joui ?
    
    O… Oui ! Vous êtes un monstre. Qu’avez-vous fait de moi ...
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