Guillaume, le joyeux zoophile (2)
Datte: 10/03/2020,
Catégories:
Trash,
Auteur: GuillaumeZoophile, Source: Xstory
... flancs. Et les mouvements lents de son mâle semblaient la bercer. Dans cet état, j’avais l’impression que je pouvais disposer de son corps comme je le voulais.
De par mes pratiques, j’ai pu constater qu’une chienne était tout à fait capable d’avoir des orgasmes et donc un plaisir intense. Ce n’était pas quelque chose d’audible, mais les contractions de l’anneau vaginal, ainsi que les spasmes musculaires ne laissaient aucun doute. Quand cela se produisait, la chienne pouvait se montrer agitée, surtout lorsque l’orgasme était puissant. Je prenais alors le temps de l’apaiser, avant de reprendre mes va-et-vient. Cela devenait parfois même nécessaire, tant les muscles de son vagin étaient contractés sur ma queue. Rendant ainsi impossible tout mouvement, ou me faisant éjaculer de force. On pouvait alors dire à ce moment-là que son plaisir était vraiment communicatif... Mais quand ce n’était pas aussi intense et qu’elle se relâchait, je reprenais mes mouvements, profitant des contractions aléatoires et stimulantes de l’anneau vaginal. Et lorsque moi-même je me sentais venir, j’accélérais un peu plus le rythme, faisant sortir lentement ma femelle de sa léthargie, avant de l’emplir abondamment de mon plaisir.
La chienne avait appris à rester ainsi, jusqu’à ce que je ne relâche mon étreinte. Epuisé, je pouvais m’assoupir pour reprendre lentement mes esprits. Pendant ce temps, l’animal s’adonnait à sa pratique favorite. Après chaque accouplement, elle se mettait à lécher mon ...
... sexe. Elle appréciait peut-être le goût du sperme. Mais j’ai su plus tard que dans le langage canin, cela signifiait que l’accouplement était terminé. Ce qui ne l’empêchait pas de répondre à l’appel, dès que j’arborais une nouvelle érection. Elle revenait alors se placer gentiment, bien au chaud contre moi, pour recevoir à nouveau de l’amour.
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La morphologie de sa gueule, rendait inapte la chienne à la fellation. Mais j’avais trouvé le moyen d’éprouver du plaisir malgré cela. En effet, logeant mon pénis entre les crocs de l’animal, je lui faisais lentement refermer sa gueule, avant d’y exercer un léger va-et-vient. Le palais rugueux de l’animal était inconfortable, mais en y allant doucement, le frottement devenait stimulant. Et comme sa langue restait très mobile, mes bourses en bénéficiaient souvent.
Dans ces moments-là, j’étais à la merci de la chienne qui, si elle refermait trop sa gueule, pouvait m’infliger de graves blessures, voire l’amputation ! Mais heureusement, il n’y eut jamais d’accident. La sensation de cette prison maxillaire demeurait stimulante, car mon gland butait contre les crocs de l’animal et ne pouvait en ressortir qu’en ayant versé un tribut pour se libérer. Ou plutôt, déverser...
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(C’est ici que le récit devient fantaisiste, plus trash et triste. Essayons alors de repousser les limites de notre imagination, d’avoir le cœur bien ...