Guillaume, le joyeux zoophile (2)
Datte: 10/03/2020,
Catégories:
Trash,
Auteur: GuillaumeZoophile, Source: Xstory
Deux semaines de ce traitement ont suffi à créer de bonnes habitudes entre ma chienne et moi. Lorsqu’elle me voyait par exemple m’asseoir sur le canapé, je constatais qu’elle me regardait fixement, les oreilles dressées, comme attendant que je l’appelle.
Nous avons passé un bon moment à pratiquer la levrette. Position à la fois naturelle pour la chienne et reposante pour moi, car je me contentais de rester assis et à moduler le rythme, en faisant aller et venir sa croupe sur ma queue. Mais lorsque j’étais vraiment excité, je lui donnais aussi de bons coups de reins, jusqu’à même oser parfois épouser son dos avec mon buste. Le haut de mon corps reposait alors sur la brave chienne, car mes doigts trouvaient à peine appui sur le sol. Mais la jouissance en valait la peine !
Quand je relâchais mon étreinte, ma femelle se retournait pour lécher le membre qui l’avait saillie, encore palpitant et écumant de sperme. Je livrais alors le reste de mon plaisir à sa langue gourmande, insultant gentiment ma chienne tout en la gratifiant de caresses:
— Hmm ! Tu aimes ça, ma fifille ! Mais oui, c’est une bonne chienne ! Une bonne salope que je baise selon mes envies. Et ça te plaît hein ?! Ca te plaît de satisfaire ton mâle ! Tu ressens l’honneur que je te fais, quand je prends ton cul d’animal ! Mais oui je sais, régale-toi. Tu l’as bien mérité!
Sa langue vigoureuse nettoyait consciencieusement mon membre épuisé, alors que moi-même je m’affalais sur le canapé.
La douceur dont ...
... je faisais preuve, lui donnait assurément du plaisir. Sinon, comment expliquer qu’elle remuait la queue, lorsque je lui montrais la mienne ? Se léchant d’avance les babines. Elle assimilait désormais le sexe de son mâle, à de bons souvenirs. Et bien que sa condition animale la rendît inapte à la réflexion, cela ne l’empêchait certainement pas d’être réceptive aux sensations. Je me plaisais à l’idée que ma femelle puisse ressentir le bien-être qui émanait de moi, lorsque je jouissais et espérais que cela soit suffisamment communicatif pour qu’elle en éprouve à son tour.
----------------------------------------------------------
Et puis, peu à peu je me décidais à affranchir la bête de sa condition naturelle, en l’humanisant un peu. Et quoi de plus symbolique dans ce contexte, que la position du missionnaire ?! C’est pourquoi quelques fois, je la faisais se coucher sur le dos, usant de caresses et de patience. Et lorsqu’elle se décidait à enfin rester dans la bonne position, je la pénétrai franchement. Ses mamelles avaient gardé un volume agréable au toucher et les voir se ballotter au gré de mes mouvements, était tout simplement jouissif. Je ne pouvais pas me retenir plus d’une dizaine de minutes à chaque fois, tant j’étais excité. Je regrettais alors de ne pas être de son espèce. Cela m’aurait plu de pouvoir la féconder moi-même et lui faire des petits. J’aurais alors pu la baiser, pendant qu’elle leur aurait donné la tétée. Joignant ainsi, l’utile à l’agréable.
Puis ...