1. La soubrette


    Datte: 10/03/2020, Catégories: fh, hplusag, soubrette, Oral confession, québec, Auteur: Lili_Lafleur, Source: Revebebe

    ... semaines ont passé et Andrew n’était plus jamais présent lors de mon ménage hebdomadaire. Au fond, j’en étais presque soulagée car j’étais encore terriblement mal à l’aise de la façon dont je m’étais comportée. Provoquer un homme marié, c’est pas vraiment super quand on y pense.
    
    J’ai alors repris mes petites habitudes musicales et ma liberté d’expression de ménagère solitaire. À chaque fois qu’arrive l’heure de la moppe, j’ai les souvenirs de cette fois-là… mais comme je suis seule, je m’exécute machinalement pour me changer les idées. Je me dirige vers la salle de bain et avant de commencer à laver la baignoire et la douche, je m’assois sur la toilette, laissant la porte ouverte. C’est alors qu’il entre dans la salle de bain : j’ai fait un de ces sauts ! Trop convaincue que j’étais seule à la maison ! Quelle gêne, se fairepogner les culottes à terre, mais pour vrai ! Il s’excuse en souriant mais ne ressort pas de la salle de bain pour autant. Je m’essuie en tâchant de cacher ma p’tite touffe de poils semi-rasés. Je remonte mon string noir en vitesse, je suis gênée, vraiment. Reboutonne mon vieux jean troué que oui, je conservais spécialement pour mon ménage ici. Andrew me regarde rieur, amusé du malaise qu’il vient de créer.
    
    Pourpre, je commence à asperger le bain et les murs de la douche de nettoyant. Andrew, lui, vêtu seulement d’une mince culotte de pyjama en flanelle, commence à se raser la barbe en se regardant et surtout en ME regardant de façon pas du tout ...
    ... subtile dans le miroir du lavabo qui fait face à la baignoire. Il remet l’épisode du voyeur, on dirait.
    
    J’embarque dans la douche pieds nus, jean roulé aux genoux ; je lave toujours les douches ainsi, je veux bien nettoyer et ma petite taille m’empêche de le faire si je n’embarque pas à l’intérieur. Je commence à frotter, à me pencher mais de façon plutôt sensuelle, le souvenir de l’autre jour en tête, il me prend de nouveau envie de le provoquer. Je me penche, je me relève, je me penche, en lui offrant hypocritement en spectacle la « passe du catcher » (vous savez au base-ball, le catcher comme il se place). Il ne se rase plus maintenant, il me regarde fixement mais toujours dans le miroir, comme si le fait de voir seulement mon reflet lui enlevait la culpabilité du moment présent. Andrew, marié depuis trente ans à une gentille femme, père de deux jeunes adultes, bon citoyen, était en train de s’exciter devant la petite femme de ménage, bonne amie de son jeune fils. Je le sentais torturé par la situation et je réalisais maintenant qu’il avait volontairement quitté la maison les dernières semaines lors de ma visite pour éviter les tentations.
    
    J’ai commencé à me sentir en contrôle de la situation, à me sentir toute puissante et maîtresse de son excitation. Je passe à l’acte ou pas ? me demandai-je intérieurement… La réflexion fut très courte ; ma libido l’emporta haut la main sur mes principes moraux. Je me sens belle, désirée voire admirée. Je sors de la baignoire en ...
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