1. Et hop, tout le monde à la campagne ! (5)


    Datte: 10/03/2020, Catégories: Trash, Auteur: SHERAB, Source: Xstory

    ... veux voir l’échantillon ?
    
    De sa main droite, il farfouille dans son pantalon par la braguette et sort, presque sous mon nez, un monstre de bite. Elle est énorme, à peine extirpée, elle répand une forte odeur de bouc dans toutes les latrines. Soudain prise de panique, je me mets à gueuler à pleine voix. Aussitôt, il me presse la tête contre son ventre pour étouffer mon cri :
    
    — Tout doux ma belle, il n’y a rien à craindre, elle n’a jamais mordu personne, m’assure-t-il.
    
    Joignant le geste à la parole et toujours en me comprimant contre son bide, je plie les genoux et dirige ma tête vers sa monstruosité. J’ai un peu peur et presque la nausée, mais c’est plus fort que moi, l’envie d’entrer en contact avec cette nature exceptionnelle me pousse à oser. Mon menton vient de la toucher. Elle est là. Ça pue la pisse. Je la sens qui s’allonge. Elle glisse contre ma joue. Il ne me force pas, il me laisse le temps de me faire à l’idée. De sa main il dégage ses grosses couilles enrobées de poils blancs et attrape ensuite le poteau de chair en le malaxant. Elle grossit et s’allonge encore. Il me repousse un peu en arrière et vient caler son gland visqueux sur mes lèvres. Je refoule un haut-le-cœur, j’ai la mâchoire bloquée. Des larmes coulent sur mes joues, je crains de ne pas être à la hauteur de l’événement. Comme je ne me décide pas, il me taquine les lèvres, il maintient avec une douceur inattendue mon menton à bonne hauteur et bien sûr, il finit par admettre qu’il ne pourra pas ...
    ... lover sa queue dans ma bouche. Elle ne passe pas. Ce n’est pas de la mauvaise volonté, elle ne passe pas. Il semble convenir de l’impossibilité.
    
    — Ha ! c’est bien les filles de la ville, toutes en promesse mais étroites de partout, s’exclame-t-il, sans se demander si on peut l’entendre de l’extérieur.
    
    Là, je suis vexée. Ce vieux salaud ne va pas gagner la partie comme ça, en me traitant d’incapable. Prenant mon courage, et sa queue, à deux mains, je me dis que je dois régler le problème autrement.
    
    Forte de ma récente expérience de branleuse et du succès évident que je venais de remporter en faisant un doublé de pines dans la camionnette, je me dis qu’en mettant le paquet je pouvais faire plier ce vieux goret. Je prends sa bite et forme avec mes mains une sorte de cercle semblable, avec un peu d’imagination, à un sexe de femme dans lequel je fais entrer et sortir le gland du vieux. Je m’active comme une effrénée sans tenir compte de la longueur de l’objet, mais en me concentrant seulement sur la tête. Je constate que la manœuvre ne le laisse pas indifférent, plus je le façonne, plus il devient gluant. Sa respiration s’accélère, j’ai mal aux bras et aux genoux, pourtant je ne lâche pas le morceau. C’est un cauchemar, je ne pouvais pas imaginer qu’un gars soit porteur d’une telle queue, c’est un cheval ce vieux, il doit baiser ses juments. Pour trouver une position plus confortable, je me relève sans m’arrêter et, lui tournant presque le dos, j’attrape le pieu comme un ...