Une idée fixe redoutable
Datte: 09/03/2020,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
couple,
extracon,
Collègues / Travail
laid(e)s,
bain,
hotel,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
amourdura,
Auteur: Drulin, Source: Revebebe
... grave.
Ce qui me ravit lorsque je fais l’amour avec Julie, c’est qu’elle se laisse porter, qu’elle n’est pas farouche et qu’elle offre à mes regards, à mes caresses et à mes baisers les zones les plus intimes de son corps, dans une lumière de moins en moins tamisée. Les fines nymphes de son sexe ressemblent à des fleurs exotiques ; l’écoulement de ses sucs est comme une source mystérieuse. Son clitoris, dès mes plus fines caresses, est dans tous ses états. Son point G n’a plus de secrets pour moi. Avec l’organe qui a pour seule fonction le plaisir qu’est le petit gland sortant de son capuchon et l’endroit précis du vagin, je pourrais faire jouir ma partenaire en quelques secondes, mais ce n’est pas le but recherché. Elle accepte même les langues de rose que j’applique à l’entrée de son anus, ainsi que la visite qu’y fait un doigt bien lubrifié.
— Si un jour tu veux me sodomiser, en me préparant bien, je ne suis pas contre, me dit-elle un jour sans crier gare.
— Tu as déjà été sodomisée ?
— Non. Mais il faut goûter à tout, et avec toi j’ai envie de goûter à tout, même au fruit défendu. Et toi, tu as déjà enculé certaines de tes partenaires ?
— À dire vrai, à l’exception d’une pute, non, jamais. Ah, si, une autre fois, mais avec une copine. On n’a jamais remis ça.
— Elle avait eu trop mal ?
— Non, même pas ; elle avait même joui. Maisa posteriori, elle trouvait ça trop « dégueulasse ».
Julie raconte
Je ne suis pas en reste dans nos joutes amoureuses avec ...
... Fabrice. À chacune de nos rencontres, je ne me force pas, car dès que je suis en présence de mon amant j’ai envie de faire l’amour. Si la première fois j’ai été passive, à présent je n’ai plus une hésitation à jouer avec les attributs présentés et appétissants. Je m’empare de la hampe pour la sucer, la lécher, la prendre en bouche, pour gober les bourses.
Tous les préliminaires sont des délices, et lorsque Fabrice me prend sexuellement, je me liquéfie. Il sait terriblement bien s’y prendre, faisant tout pour que la jouissance soit au rendez-vous en variant les positions, le rythme, la profondeur de pénétration. Ce n’est qu’après plusieurs minutes de va-et-vient dans mon intimité dégoulinante qu’il y déverse son foutre avec délice et extase. À moins que je ne lui demande de venir maculer ma chatte ou mon ventre.
Parfois je retiens étroitement entre mes lèvres son zob pour qu’il éjacule dans ma bouche. Alors je m’efforce d’avaler toute sa liqueur.
— Ça non plus, je ne l’avais jamais fait, lui ai-je avoué.
— Il y en a un qui serait surpris de te voir si entreprenante.
— Tu penses à mon mari ? Je lui ai dit que j’avais retrouvé un ami d’adolescence avec qui j’avais flirté.
— Tu lui as dit en quoi consistaient ces retrouvailles ?
— Oui, tout à fait. Il sait que nous faisons l’amour ensemble.
— Et qu’a-t-il dit ?
— Que veux-tu qu’il dise ? Il ne me baise plus et ne veut plus me baiser. Même si je n’ai plus de nichons, je reste une femme, avec des besoins, des envies et une ...