Une idée fixe redoutable
Datte: 09/03/2020,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
couple,
extracon,
Collègues / Travail
laid(e)s,
bain,
hotel,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
amourdura,
Auteur: Drulin, Source: Revebebe
... spasmes.
Justement, le visage de Fabrice vient se placer entre mes jambes. J’ouvre les cuisses pour lui laisser libre accès à mon intimité. Je me laisse aller, oubliant toute retenue, ne désirant qu’une chose : qu’il me baise, qu’il me fasse jouir. Je suis en manque depuis trop longtemps et je veux qu’on me baise. Fabrice, l’amant de mon adolescence, m’offre cette possibilité.
J’ai toujours aimé lorsque mon mari me faisait un « cunni », au temps où nous faisions encore l’amour. Même si mes nichons étaient pour moi une source de plaisirs intarissables et inénarrables, je ne dédaignais pas les jouissances issues de mes muqueuses intimes. Cependant, je considérais ces caresses buccales comme particulièrement intimes, et même franchement avilissantes. Quant à être baisée par un homme, je préférais qu’il me saute plutôt qu’il me lèche la vulve. Aussi, pour apprécier pleinement qu’une bouche et qu’une langue virevoltent sur mon coquillage, il fallait que je sois en confiance avec mon partenaire, que je sois éprise de lui et qu’il me fasse cette caresse intime avec amour : c’est le plus bel acte d’amour. Mon époux y était parvenu.
C’est du moins ce que je pensais, et j’étais loin de me douter qu’un amant – certes de longue date, mais que je connaissais peu – puisse accéder à cette faveur. Car Fabrice, à ce moment précis de nos ébats, je ne peux pas dire que je l’aime. Je me donne à lui parce qu’il veut bien de moi. Et comme il y met une douceur infinie qui m’apporte de ...
... divines sensations, je ne vois pas pourquoi je m’en priverais.
Dans un premier temps il passe sa main à plat sur mes lèvres, s’y attarde, arrête, presse légèrement. Puis il renouvelle cette douce caresse à plusieurs reprises avec comme priorité la lenteur. La chaleur de ses mains constitue le plus puissant des aphrodisiaques. Comme je mouille abondamment, les mains glissent agréablement. Elles poursuivent parfois leurs parcours jusqu’entre mes fesses.
Je pourrais toucher le corps de mon partenaire, lui donner du plaisir en saisissant sa verge dressée. Je n’en fais rien, non par timidité ou pudeur, mais simplement pour rester concentrée sur mon seul plaisir afin d’en profiter entièrement. Un doigt s’égare pour venir entrer dans ma vulve. Cet intrus écarte le passage un peu plus à chaque va-et-vient. Le contact avec mon clitoris est comme une décharge électrique : entre une brûlure et une douche glacée. Mon vagin est béant, et je n’en suis déjà plus la propriétaire. C’est Fabrice qui me possède entièrement : il a mon corps, mon esprit, mon sexe et ma jouissance entre ses mains.
Il commence alors le véritable cunnilingus. Il approche sa bouche de ma vulve. Ce sont des léchouilles légères sur mes nymphes, puis tout de suite après de grands coups du plat de la langue sur toute la longueur de ma fente qui se trouve en feu. Il alterne entre des coups de langue à l’intérieur de mes lèvres, sur le clitoris, et des passages dans le sens de l’ouverture, qui me donnent l’impression ...