Marine - Histoires de Sexe

Marine

... demi-sourire sur la bouche et du feu dans les yeux.

— Lèche ! Lèche-moi bien, lèche ta salope !

Et j’écartais le tissu de sa culotte pour explorer sa fente de la pointe de ma langue, comme pour goûter. Du pouce, je massais les alentours du clitoris, toujours à travers sa culotte, et Marine se mit à trembler légèrement, la chair de poule sur ses cuisses. J’écartais le tissu un peu plus et posais franchement ma langue sur sa chatte. Je commençais à aller et venir verticalement, finissant par un petit coup de langue sur son clito. La respiration de Marine était hachée, saccadée. La sueur collait sa frange sur son front et le rose de ses joues se mariait parfaitement à son regard fiévreux.

— Prends tes seins avec tes mains pendant que je te lèche.
— Mmmm… quelle bonne idée, comment est-ce que je n’y avais pas pensé avant ? Je peux enlever mon soutien-gorge ?
— Hors de question, tu le gardes. Je te l’enlèverai tout à l’heure si tu es sage.
— Mmmm… Je serai très saage. MMMMMMPFF ! Tu fais quoi là ? On dirait que tu me pénètres avec ta langue.
— Tu as deviné. Ça te plaît ?
— Si ça me plaît ? J’adoooore ça oui ! Mon ex ne m’a jamais fait ça.
— Il n’y connaissait rien le pauvre.
— Avec lui, c’était pelotage des seins et puis il me prenait, vite et mal. Quand il a commencé à me demander de le sucer, j’ai rompu, ça me dégoûtait, c’est pour… putain, ce que c’est bon TA LAAANGUEUEUE… OUIIII, là, là, juste là, lèche ! Mmmmm… Je crois que je n’ai joui qu’une fois, et ...

... ça devait être par accident.

Trouvant le moment mal choisi pour lui donner un avis plus précis sur le sujet, je me contentais de continuer avec application de lui brouter la chatte. Je descendais maintenant un peu plus bas, m’approchant de son petit trou. Elle ronronnait de plus belle, murmurant et couinant d’une façon lascive qui contrastait délicieusement avec l’image que j’avais d’elle, studieuse et toujours un peu distante. Aujourd’hui, alors que jamais je n’aurais cru voir ce jour venir, je la tenais au bout de ma langue. Je sentais que nous étions sortis des limites du « cours » qu’elle m’avait demandé, mais l’idée qu’elle insiste pour que je continue. Alors que j’avais enfoncé toute ma langue dans sa petite chatte chaude, elle se cabra soudain et partit dans un orgasme long agité de tremblements irréguliers. Comme foudroyée, elle haletait bruyamment et finit par laisser échapper un son étouffé entre ses dents serrées avant de retomber sur le lit.

— Fin du cours.
— Déjà ?
— Bien sûr il y a les heures supplémentaires, mais… fis-je en faisant semblant de regarder une montre imaginaire.
— Et bien, si on peut faire une petite pause, je ne serais pas contre.
— Pas contre ? C’est tout ? Je dois être un bien mauvais professeur, dis-je en faisant mine de me rhabiller.
— Oh non, pardon ! Je ne voulais pas vous vexer, Monsieur le professeur. Quelle est la suite du programme ?

Elle s’était redressée et me caressait franchement la queue à travers mon jean tout en ...