Marine - Histoires de Sexe

Marine

... fin de l’opération, alors que son collier s’était pris dans la laine, j’avais pu regarder ses deux gros seins se balancer dans leur soutien-gorge à balconnets marron. On aurait dit qu’ils allaient sortir de leur écrin et j’espérais un instant que cela arrive. À ma grande surprise, j’avais pu remarquer un petit bijou qu’elle portait dans le nombril et qui m’excita pour une étrange raison, davantage que de pouvoir enfin la voir presque nue devant moi.

— Voilà, alors tu voulais me montrer quoi déjà ?

Je l’embrassais et la pelotais du bout des doigts, m’attardant à travers le tissu sur ses tétons, puis prenant un sein dans chaque main et les écrasant l’un contre l’autre. Je faisais ensuite sortir son sein droit et le caressais, tournant autour du téton du bout de l’ongle, m’éloignant, en frottant l’extrémité avec ma paume ouverte sans aller plus loin. Au même moment, je sortais ma langue de la bouche avide de Marine et commençais à l’embrasser dans le cou avant de descendre rapidement vers sa poitrine. Je pris son téton dans ma bouche sans tourner autour, l’aspirais, l’agaçais du bout de la langue, le mordillant légèrement. Marine gémissait de plus en plus fort.

— Mmmm, je vois ce qu’tu veux dire… Oh ! quand tu le prends dans ta bouche, ça me fait comme une déchar… OH ! Oh ouiii ! Mmmm lèche le tour, suce-les, comme ça, prends-les dans tes mains.

Alors que je laissais ma main gauche et ma bouche s’occuper de son opulente poitrine, je descendais la droite vers sa ...

... culotte. De la pointe des ongles, je caressais ses cuisses avant de me rapprocher progressivement de l’ouverture de ses jambes. Marine, de plus en plus excitée, me demanda :

— Tu veux que je l’enlève ?
— De quoi ? demandais-je en sachant pertinemment de quoi elle parlait.
— Ma culotte, répondit-elle en sachant pertinemment que je savais.
— Je vais m’en occuper… plus tard. Si tu n’y vois pas d’inconvénient bien entendu.
— Si tu continues de t’occuper des mes seins pendant ce temps là, ça me va parfaitement, dit-elle en prenant elle-même ses nichons dans la main, comme pour me les offrir.
— Tu es une élève très…
— Dévouée ?
— Mmmm…
— Assidue ?
— Pas seulement…
— Salope ?

Ce mot dans sa bouche me fit bander instantanément.

— Salope, pas mal… Oui je crois que c’est le mot, une belle petite salope.
— Je n’aurais jamais cru aimer qu’on me traite de salope, mais là, je me sens très salope justement, et ça me plaît. Et toi ?
— Si ça me plaît que tu te comportes comme une salope ?
— Si ça ne te convient pas, je peux arrêter.
— Oh par pitié non, salope ça me va parfaitement. Et écarte tes jambes, je vais te montrer ce que c’est qu’un vrai cunni. Je vais te lécher ta petite chatte… je vais te lécher ta petite chatte de salope.

Elle bascula la tête en arrière et écarta ses jambes tandis que je positionnais ma tête entre ses cuisses, pétrissant maintenant ses fesses de mes mains. Elle posa ses talons sur le lit et se redressa sur les coudes en me regardant, un ...