Marine - Histoires de Sexe

Marine

... sucer.

Après un quart d’heure de caresses, elle se recula et se mit à genoux sur le lit.

— Montre-moi maintenant.
— Bien, alors tu veux qu’on fasse ça comment ?
— Je ne sais pas, c’est toi le professeur.
— Ah oui, j’avais oublié. Et bien…

Je me grattais la tête en me redressant. Qui aurait cru que j’aurais tant de mal à répondre un jour à sa question. Je me dressais sur mes genoux et lui pris la main, la plaquant sur la bosse qui déformait mon pantalon.

— Vas-y.
— …
— La braguette.
— Ah, oui, bien entendu.

Elle se pencha et ouvrit les boutons. Ma bite surgit à travers mon caleçon et Marine ouvrit des yeux ronds comme des soucoupes, ne s’attendant pas à voir le diable sortir de sa boîte de cette façon.

— Pas si vite !

Je me rhabillais rapidement.

— Recommence, doucement, mets-y de la sensualité.
— Ok.

Elle rampa à genoux vers moi, ses jolies dents blanches posées sur sa lèvre inférieure comme si elle allait résoudre une équation. Elle hésita, avança sa main de nouveau, me regarda. Je lui souris et elle étouffa un petit gloussement en posant sa main sur mon pantalon pour la seconde fois. Elle commença à me masser la queue en me regardant de temps à autre. Je caressais ses cheveux et lui indiquais muettement qu’elle se débrouillait parfaitement. Enfin, elle ouvrit un bouton, puis deux, en me regardant dans les yeux avec l’amorce d’un sourire lascif aux coins des lèvres. Puis elle posa un baiser sur la pointe de ma queue à travers mon caleçon. ...

... Je me reculais, ayant failli jouir sur le coup.

— Y’a un truc qui…
— Pas du tout, au contraire, tu es très… douée. Excuse-moi. Reprenons.
— …
— Sors-la, avec tes mains. Et caresse-la. Voilààà… Mmmmm… Non, prends-la dans ta main et fais des mouvem… oui, c’est ça, tu comprends vite… Oh mon dieu, oui, c’est ça. Avec l’autre main, tu peux caresser les couilles.
— Caresser… les… couilles… reprit-elle comme pour elle-même.

Elle avait mes bourses dans sa main gauche et me branlait maladroitement de la droite. Je posais ma main sur sa tête et l’attirai contre ma queue. Elle avala tout d’un coup.

— Doucement, suce-la d’abord, lentement, juste avec la langue. Voilà, oui, c’est mieux… MMMMmmmm c’est bien mieux oui. Avec la langue, lèche-la tout du long, pose tes lèvres, oh putain… tes lèvres oui… MMMMMMMM !!! comme ça.
— Comme ça ?
— Oh oui, suce bien, suce comme ça maintenant.

Et je poussais sa tête contre ma queue qu’elle avala lentement centimètre par centimètre.

— Continue de me branler avec ta main, fais attention à tes dents… oh ouiiii… Sers-toi de ta langue ! Oh mon dieu !

Mes yeux venaient de découvrir le spectacle dans la glace posée sur la porte de son armoire. Marine en train de me sucer avec application, ma bite dans sa bouche. En une fraction de seconde, je sentis que j’étais une fois de plus à deux doigts de l’orgasme et me retirais. Étouffant toute question, j’ajoutais aussitôt.

— Tu es EXTRÊMEMENT douée Marine, j’ai du mal à croire que tu fasses ...