Marine - Histoires de Sexe

Marine

... de questions, on se les pose tous tôt ou tard, c’est normal.

Elle pleurait maintenant. Ça devenait compliqué.

— Eh, arrête de pleurer c’est pas grave, je vais t’expliquer, calme-toi voyons.
— Vraiment, alors comment on fait, ça doit pas être dur pourtant.
— Ben non, il faut… c’est pas facile à expliquer. D’abord, ça dépend si tu es… enfin si le mec est habillé. Et quel genre de pantalon il a.
— Quel genre ?
— Ben oui, boutons ou fermeture éclair.
— …
— Ben c’est les préliminaires, avant de le su… avant de lui, de prendre, de le prendre dans ta bouche…

Je rougissais à mon tour et je bandais de plus en plus. Marine pouffa et j’en profitais pour relâcher la pression et rire avec elle.

— Donc, tu ouvres sa braguette, après, c’est pareil, slip ou caleçon, habillé ou pas…

Elle venait de me poser la main sur la jambe. SA main, MA jambe. Mon dieu, j’ai cru que ma bite allait percer mon jean.

— Maxime, je sais que tu vas trouver ça vraiment… vraiment… mais, tu voudrais pas me montrer ?

Lui montrer. Comment sucer. Mais avec plaisir Marine, avec GRAND plaisir.

— S’il te plaît. J’ai besoin qu’on me montre, sinon je vais encore passer pour une gourde.
— Te montrer ?
— Oh mon dieu, tu… tu n’es pas célibataire ?
— Non, enfin si, mais ce n’est pas le problème.
— Je te… tu n’as pas envie, c’est ça ?
— Mais si voyons ! Enfin, je veux dire que… écoute si ça peut te… t’aider, pour que tu… enfin tu vois ?

Elle sourit et hocha la tête, les jambes toujours ...

... serrées et les mains sur les genoux. Elle m’écoutait, elle était prête.

— Il faut commencer par le début, ne vas pas croire que je veux abuser mais une fellation, ça ne se fait pas de… enfin rarement, enfin je crois. Il ne faut pas oublier les préliminaires des préliminaires en somme.

Et je sautais le pas. Je me levais, passais ma main derrière sa nuque et portais ses lèvres aux miennes. Je l’embrassais lentement, léchant sa langue, tout en la faisant reculer sur le lit. Elle me rendait mes baisers en me regardant droit dans les yeux, comme pour contrôler si ce qu’elle faisait était bien. Collé contre elle, je glissais entre nous une main vers son sein gauche et me mis à le presser doucement, puis plus fort. À travers la laine, je pinçais doucement son téton dur et je sentis que sa concentration toute scolaire faiblissait. Elle gémissait, ondulait, tétant la pointe de ma langue et prenant mes poignets dans ses mains pour les plaquer contre ses gros seins.

— Tu vois, ce genre de choses…
— Je vois… Et dis-moi, c’est moi qui te fais cet effet-là ?
— À ton avis ?
— Eh ben…

Je ne la laissais pas finir, la faisant passer au-dessus de moi pour pouvoir lui peloter les seins à mon aise. Je ne voulais pas la déshabiller, me demandant toujours si elle ne jouait pas la comédie et si tout ça n’était pas un stratagème pour m’amener dans son lit et m’exciter au maximum. Elle aurait pu se vexer si jamais elle disait la vérité et voulait « juste » que je lui montre comment ...