Hommage à la Mère
Datte: 07/03/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: byValcour, Source: Literotica
... phase avec cette caresse insolite. J'arrêtai alors mes propres caresses, saisi de respect face à une manifestation de possession que je ressentais comme sacrée, et attentif à me laisser moi-même envelopper par les ondes de sa jouissance. Je m'aperçus que je bandais. Je frottai mon petit membre raide et douloureux contre l'ample et grasse cuisse maternelle, j'étais tétanisé par sa jouissance. Vint la détente. Ma main était posée sur sa cuisse, près du lieu stratégique que ma soeur avait investi. Ma joue collée contre un sein tiède et moelleux, j'enregistrais avec émotion tout ce que manifestait son corps: soupirs, frémissements, palpitations, et je cherchais à éprouver ses sensations.
Pourquoi une larme se mit-elle à couler sur sa joue, jusque sur mes lèvres?
Nous nous mîmes à l'embrasser dans le cou, sur les épaules, sur les paupières, à mordiller ses oreilles, à y enfoncer nos langues, ce qui la fit sortir de sa torpeur, alors que je reprenais mon inlassable exploration de son ventre et de ses seins.
--- Vous êtes des diables. Mais c'est l'heure de l'école!
Panique, lever précipité, départ pour l'école.
Le rituel se trouva enrichi. Mais ma sœur s'arrogeait le rôle de prêtresse officiante : elle éloignait ma main avec autorité chaque fois que je tentais d'approcher la broussailleuse source de jouissance.
-- Non-on, murmurait notre mère chaque fois que la main branleuse de ma sœur montait trop haut. Mais ce qui avait été admis une fois fut à chaque fois ...
... répété.
Ma soeur et moi partagions la même très petite chambre, et bien sûr je souhaitais manipuler son conin glabre, tout comme elle manipulait le buisson maternel. Mais elle refusait absolument de me laisser la toucher. Elle n'hésitait pas à rugir et à griffer comme une panthère si je le tentais.
-- Laisse moi te caresser, je le ferai très doucement.
-- Quand j'aurai des poils.
-- Montre-moi tes poils.
-- Y-en a pas.
J'approchais mes yeux à quelques centimètres de son bas-ventre où je cherchais tous les matins l'apparition de quelque poil, signe avant-coureur de sa disponibilité à mes mains désirantes. Respectueux du pacte, je préférais sacrifier le toucher au profit de la vue et de l'odorat, mais il faut bien dire que je ne retrouvais pas sur elle la puissante odeur de femelle que dégageait le corps jouissant ou alangui de notre mère.
Sauf le dimanche, jour de messe et d'ennui, les séances matinales continuaient de plus belle. Notre mère faisait semblant de se défendre de nos chatouilles. Elle s'emparait du paquet de mes toutes petites couilles et de ma bite raidie, et le serrait pendant que je lui pinçais un téton. A qui supporterait le mieux la "douleur" infligée par l'autre. Le premier qui criait grâce avait perdu.
Venaient ensuite les claques. Notre mère s'allongeait sur le ventre et nous offrait, par défi, ses fesses à claquer. Chacun de nous s'occupait d'une de ses grandes fesses blanches. Elle se trémoussait mais ne protestait pas, même lorsque ...