Hommage à la Mère
Datte: 07/03/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: byValcour, Source: Literotica
Comme beaucoup d'enfants, j'ai appris à m'enivrer de l'odeur de femme chaude dans le lit de ma mère. C'est pour lui rendre hommage, et pour revivre par l'écriture la chaleur des hommages dont je l'ai honorée, que j'écris ces souvenirs de mon enfance.
J'avais huit ou neuf ans et ma soeur, deux de plus. Notre père partait travailler très tôt car nous habitions dans une triste banlieue mal desservie par les transports.
Lui parti, l'obscurité revenue, ma soeur et moi allions rejoindre aussitôt notre mère dans son lit. Elle tentait de prolonger son sommeil, nous nous installions chacun d'un côté, et moi toujours à sa droite pour que ma main droite soit libre de se poser sur son ventre, de caresser ses seins et de s'aventurer jusqu'à ses cuisses.
Un rituel s'était instauré. Nous écoutions d'abord sa respiration, avec un respect religieux. Je me laissais envahir par sa chaleur. Sa courte chemise de nuit était toujours retroussée, et je me collais au plus près de sa cuisse nue.
J'aimais par dessus tout ses odeurs. L'odeur de son cou, l'odeur de sa chevelure, différente, un peu savonneuse, l'odeur des touffes noires et soyeuses de ses aisselles, plus acide, et même l'odeur de pet qui imprégnait les draps. Elle avait l'habitude de replier ses bras sous sa tête, ce qui dégageait un buisson moite où j'enfouissais mon nez avec délices. Je suis maintenant convaincu qu'elle aimait me sentir la humer. Mais à l'époque, je saisissais la chance sans me préoccuper des arrières ...
... pensées.
Ma soeur de son côté promenait sa main gauche sur le ventre rebondi, posait des baisers baveux sur ses épaules et au creux de son cou, tirait sur le nylon crissant pour le tendre sur les seins. Dans la pénombre on distinguait les tétons bruns, gonflés, pointus comme pour percer le tissu.
Notre rituel se déroulait en plusieurs temps. Tout d'abord celui du silence, de l'imprégnation par les odeurs, de l'écoute du sommeil en train de se dissiper. Ensuite, quand la respiration indiquait l'approche du réveil nous lui prodiguions des caresses plus insistantes, pour l'empêcher de se rendormir. Rapidement, elles se transformaient en chatouilles.
-- Laissez moi dormir!
Mais c'était trop tard, le grand jeu commençait. A la faveur de ses mouvements de résistance, je m'emparais de ses seins. Elle avait de grands seins, flasques comme des gourdes basques à moitié pleines, couronnés d'aréoles brunes, pas aussi parfaits que les seins siliconés des pin-ups, mais je les aimais bien ces seins qui nous avaient, ma sœur et moi, bien longtemps allaités.
Trèves d'attendrissement laitier. Ce fut ma sœur la plus hardie, et c'est elle qui fit évoluer le rituel. Lors d'une série de chatouilles appuyées, notre mère poussa un long gémissement sourdant du plus profond de sa gorge, et son dos se cambra. J'eus peur pour elle d'une crise de quelque maladie nerveuse, mais je vis que la responsable était ma soeur qui fouillait vigoureusement son bas-ventre, et que ses gémissements étaient en ...